Quand elle se retourna une douce brise lui caressa les joues et fit virevoltée ses longs cheveux noirs. En face d’elle deux hommes de haute stature, le masque sur le visage ne pipaient mots et Mahiro sentait qu’elle était observée et cela la mettait execivement mal à l’aise. Les deux anbus se décidèrent enfin a ôter leurs masques et Mahiro put enfin voir a qui elle avait a faire. Celui de gauche était blond avec des cheveux mi-longs et des yeux bleu océan. Il avait le teint un peux bronzer et sa bouche était fine. Malgré ses airs de surfeur inoffensif ont sentaient une petite note de danger comme si cet homme portait le lourd fardeau du sang que l’on a tellement verser. Pour le reste il était habillé comme chaque anbus. Celui de droite par contre avait en tous points nombres de cicatrice aussi nombreuse que les cratères de la lune et l’on voyait que lui, les missions a risques il connaissait. Ses épaules taillées en V ne donnait pas envie de le contre dire mais le sourire qu’il arborait en ce moment apaisait chaque petits chagrins, son sourire évoquait le soleil et l’été alors que ses cicatrice évoquait le sacrifice pour son village et la dureté de ce combattant. C’est celui-ci qui, d’une voix plutôt grave prit la parole en premier.
_Bonjour je me nomme Kazuki Bito et mon collègue ici présent ce nomme Zabunito Piarozzi
Le dit Zabunito prit la parole avec un petit accent que Mahiro ne connaissait pas
_Je sais que mon nom est bizarre mais il vient de contrées lointaines et inconnues de notre monde que seul mes ancêtres ont pus découvrir mais suite a un accidents le secrets de ses paysages est en ma seul possession et vu votre sourire soyez avertit que ceux qui se moques de mon prénom moi je me moquerai de leur cadavres après leur avoir ôter la pauvre petite âme qui y séjournait !
Mahiro plissa les yeux et regarda Zabunito avec un air de défi
_Sache que je me moque de qui je veux et que ce n’est pas un clown au nom digne des plus grands bouffons de l’empereur qui risque de m’ôter même le moindre cheveux.
A la suite de la provocation le surfeur attaqua de front sans la moindre retenue et fut arrêter et vite maîtriser par le grand a la carrure de boxeur qui s’était interposer, le dit Kazuki. Celui-ci entama de sa grosse voix
_Et bien…c’est pas jolie jolie tous sa…vous méritez qu’on vous jette dans la guerre qui oppose Suna a Kiri….-guerre inventé de toutes pièce par moi-même-
Zabunito baissa les yeux et se détacha rapidement de l’emprise pourtant serrée de Kazuki.
_Je m’excuse Mahiro-Chan j’ai manqué de respect envers toi.
Mahiro un peut surprise par ce vif changement d’attitude balbutia
_Moi aussi... heu je m’excuse de t’avoir provoqué a cause de ton prénom qui d’ailleurs est très jolie si on y repense et…
_C’est bon je crois que sa va aller.
La grosse main pleine de cicatrice se leva en signe de calme. Kazuki continua.
_Le chef c’est toi Mahiro ordre de Tsunade.
_Avant sa, je veux savoir pourquoi vous vous trouvez a deux sans troisième compagnon.
_Morte en mission.
La voix de Zabunito était sèche cette fois-ci.
_Je déteste cette phrase. Cette phrase glorieuse mais pleines de larmes… je la haie.
Une grosse voix prendre un air mélancolique sa fait vraiment bizarre mais il se retourna vers Mahiro
_J’imagine que pour toi, c’est pareil.
Celle-ci reprit froidement
_Je n’aime pas parler de sa mais effectivement c’est pareil. Et pour ceux qui ont lu le deuxième chapitre de ma palpitante histoire et bien ils sauront comment sont morts mes compagnons ( l’auteur dans un brin de fatigue a écrit ce qu’il pensait, veuillez l’excuser de cette petite erreur mais si vous avez pas lu le deuxième chapitre et bien je vous invite a le lire. Au fait moi c’est la réceptionniste de l’écrivain. Non je dis n’importe quoi desolééééé )
Bien assez jacasser Zabunito , Kazuki nous devons rejoindre Tsunade pour notre première mission entant que équipe n° 13.
Un tiers de seconde plus tard, sous le soleil de la fin d’après midi,les cheveux dans le vents et le masque sur le visage trois ombres partirent en direction du bureau de l’hokage. Trois ombres qui maintenant partageront leurs vies ensemble et, qui sait mouront au combat comme tous bon ninjas. Arrivé au bureau de l’hokage devant la porte les trois anbus croisèrent un jeune homme qui, Mahiro ne put s’empêcher de le remarqué arborait un sourire content et avait le bouton de son pantalon ouvert. Un fou rire derrière elle lui fit dire que,apparemment Zabunito avait lui aussi remarqué sa. Kazuki lui restait impassible. En entrant Tsunade semblait ranger prestement quelque chose et en les voyant entrer elle se contenta de cacher derrière son dos les objets qu’ elle n’avait pas eu le temps d’enfouir sous des piles énormes de paperasses. Mahiro s’eclaircica la voix et dans un geste peut être trop théâtrale elle dit
_Nous sommes prêts.
Tsunade les fixa tous les trois et joignit ses deux mains ensemble et posa les coudes sur le bureau. Sa poitrine était plus volumineuse que jamais et ses pommettes roses faisaient un contraste cinglant avec le gris de ses paupières.
_J’espère que vous l’êtes car votre première mission est périlleuse, en d’autre circonstance je ne vous aurait donné qu’ une mission de rang B pour vous adapter les uns des autres mais… le fait est que le village est dans une très mauvaise position et que votre mission dépendra de beaucoup, beaucoup de choses. Maintenant asseyez vous et écoutez moi.
La pluie commençait a écouler ses lourdes gouttes sur les grandes prairies de verdures en bordure de Konoha. Les feuilles pliaient sous la force de l’eau (retenez bien cette phrase… ) ce que Mahiro fit vite de remarquer. Etais-ce un signe ? Peut être…. Elle avançait lourdement a cause de la boue visqueuse qui avait demandé asile au sol vert des plaines du village de la feuille. L’ odeur du bois mouillée lui fit tiré une grimace de dégoût et le vent parsemait ses longs cheveux noirs de petits grains de sables venu de Suna. Le bruit monotone de la pluie sur les toits des fermes irritait encore plus Mahiro. Cette fois elle en était sur. Tous était réuni. La feuille , le sable ,l’eau et le bruit. Cela lui rappela les parole du Godaime a peine une heure au par avant.
Flash back
Maintenant asseyez vous et écoutez moi. Comme vous le savez Suna et Kiri se combattent férocement et le sang s’écoule toujours plus. Vous me direz que cela ne nous regarde pas mais… cela nous regarde étant donné que Suna est notre allié et que le pays du son a décidé pour des raisons quelconque de se joindre a Kiri. Il est alors évident que Suna a sollicité notre aide, aide que nous ne pouvons leur refuser. Dès demain alors nous entrerons officiellement en guerre contre Kiri et Oto avec l’aide de Suna. Cette guerre déchirera le monde et nombre de vies mourront sur le front. Mais si nous sortons vainqueur de cette guerre mondiale nous imposerons nos lois sur les pays limitrophes. C’est sa les règles comme vous le savez. Protégez le village et étendre sa puissance. Il n’y a ni gentils ni méchants vous devrez vous battre et mourir pour votre pays. C’est votre rôle de ninjas. Bien votre première mission est d’aller sur le front et d’envoyer ce message aux chefs de guerres de Suna. Si des ninjas d’Oto ou de Kiri venaient à vous prendre ce message, ce serait grave. Car il contient l’ensemble de nos troupes, de nos vivres et les positions que nous occupons, toutes les positions. Si nos ennemis l’apprennent c’est le désastre. Je compte sur vous étant donné que les autres équipes d’anbus sont allé en mission d’assassinats généralement de chefs de guerres du son. Vous êtes donc les seuls pour cette mission classée S.
Tsunade tendit le parchemin a Mahiro et regarda sévèrement les trois anbus présents
_Tous nos espoir et nos vies sont entre vos mains. J’espère que vous en avez conscience. Sur ce,allez-y !
Les trois shinobis saluèrent leur chef et partirent au pas.
Arrivé a la frontière de Konoha les trois coéquipiers s’arrêtèrent sur une grosse branche a l’abris des regards. Ce fût Mahiro qui, d’une voix plutôt sereine ou qui voulait paraître l’être coupa le silence.
_Bien nous sommes à la frontière du pays de l’eau. Au-delà de ces collines s’étends le village de Kiri…. Nous devons passer le village incognito et ensuite passer les lignes de Kiri pour se retrouver en territoire allié. En gros, ce sera dur. Trouvons une patrouille qui surveille la frontière tuons les et prenons leurs vêtements pour passer le village.
Zabunito prit la parole
_Ton plan peut marcher mais en arrivant dans le village on nous posera des questions…non il faut trouver des civiles du village de la pluie pour se balader librement dans la ville. Quand nous aurons récolter assé d’ informations sur les lignes de nos ennemis le nombre de leurs effectifs alors nous pourrons essayer de passer les lignes de Kiri et arriver a Suna avec non seulement le message mais en plus des informations importantes.
Mahiro ouvrit la bouche de surprise. Elle balbutia
_Heu…oui , oui c’est un bon plans. Reste a trouver les civiles adéquats.
Cette fois-ci ce fût Kazuki qui prit la parole.
_J’ai beaucoup œuvrer dans le pays de la pluie et je sais qu’a quelques pas de là se trouve une ferme.Nous n’avons qu’a empreinter leurs vêtements. J’imagine qu’ il faudra les tuer…c’est triste.
_Mais c’est la vie.
Zzbunito fût le premier à partir dans la direction de la ferme mais Kazuki le rattrapa vite.
_Tu ne sais même pas ou c’est imbécile ! Sa n’est pas par là ! Suivez moi…
Zabunito rougit de sa bêtise et Mahiro lui jeta un regard railleur accompagné d’un sourire de la même nature.
Après être arriver à la ferme en faisant attention de ne pas s’être fait repérer par la petite patrouille de Chuunin qui patrouillaient dans le coin, Mahiro jeta un coup d’œil par une petite fenêtre ouverte et vit un gros monsieur qui apparemment grondait fort un enfant en bas âge. Mahiro baissa les yeux cassa la vitre entra et tua les deux personnes présent dans la pièce. L’enfant devait avoir quatre ans au moins. Dans des pièces environnantes la même scène ou presque se passait. Après avoir vérifiez qu’il ne restait personne les trois ninjas réunirent les corps dans le salon et firent le compte. Trois enfant dont le plus jeune devait avoir quatre ans et un père et une femme. Mahiro enfila les habits de la fille et Zabunito ceux du plus vieux des enfants (vingt ans ) Kazuki lui mit les vêtements du vieux monsieur. Ils cachèrent les corps dans une grange et prirent la route du village, affublés comme les villageois de Kiri.
Bon après ce chapitre les autres seront plus longs car je retourne chez moi. Et l'action sera des plus palpitante.