Petites histoires


Fanfiction Naruto écrite par tengaara (Recueil de tengaara)
Publiée le 18/05/2015 sur The Way Of Naruto



Voilà j'espère que ces petites histoires vous plairont ! Ça ne parle pas forcément des persos de Naruto mais j'y ai mis vraiment tout mon cœur...
J'espère que ça fera au moins 1500 mots mais sinon j'aimerais vraiment que les modos l'acceptent...



Chapitre 1: Mes histoires



1ere histoire :

Je me souviendrai toujours de ton expression lorsque nos regards se sont croisés pour la première fois. Tes beaux cheveux noirs retombaient en quelques mèches sur ton visage. Tes joues étaient rosies par le froid et tu avais l'air frigorifié. ton regard noir ébène s'est plongé dans le mien et j'ai eu comme l'impression que tu pouvais lire à l'intérieur de moi. Tes prunelles noires lisaient mon âme et y découvraient ce que personne n'a jamais découvert, du rose et du noir. Tu m'observais comme on observe une étrangère venue de loin et pourtant je suis juste à côté de toi. Chaque matin je te vois partir de la fenêtre de mon lit et, chaque matin, j'ai envie de te crier de m'attendre mais je ne peux pas. Après cela, tu es revenu chaque jour m'observer en espérant découvrir qui j'étais vraiment. Il pleuvait ce jour là, je me sentis prise d'un accès de courage, je traversai la route pour te rejoindre quand je sentis tes mains me pousser. La dernière chose que j'eus le temps de voir c'est ton habituel sourire qui en disait toujours longs mais que je n'avais jamais compris. J'ai perdu mes jambes, mon sourire et toi ce jour. Maintenant j'observe toujours ce banc où tu étais assis sans pouvoir bouger ni sourire...

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Tu me paraissais étrange avec tes beaux yeux verts qui me fixaient intensément et qui se baissaient quand je te regardai. Je te voyais chaque matin, assisse sur ton lit et accoudée au bord de ta fenêtre. Tes longs cheveux blonds tombaient en cascade dans ton dos et tu étais tellement occupée à me regarder partir que tu ne voyais même pas que je t'observai moi aussi. Un jour pourtant nos regards se croisèrent et j'ai eu l'impression de plonger dans ton cœur pour y voir toute l'étendue de ta personnalité. Tu étais étonnante ! Malgré ta timidité, tu débordais d'énergie et de créativité et, il ma sembla voir en toi 2 personnalités complètements opposées : du rose et du noir. Je te pris en affection, tu étais étrange mais tu m'intriguais. Un jour où le ciel était couvert de nuages et le sol et sol de gouttes, je te vis sortir et courir vers moi. Je sentis la catastrophe arriver, je me précipitai vers toi et te poussai de toutes mes forces. Je n'ai pu t'adresser qu'un bref sourire avant de te voir disparaître de mes yeux à jamais...



2eme histoire :

Tu étais tellement prévenant à mon égard que cela m'en donnait les larmes aux yeux. A l'instant où tu quittais ma chambre, je pleurais pour te remercier de venir si souvent t'occuper de moi. Tu étais ma seule raison de rester en vie. Quand je te voyais arriver chaque soir après tes cours pour me faire la lecture ou m'expliquer patiemment des opérations de mathématiques. Je les faisais uniquement pour te faire plaisir car je savais que tu aimais quand je sourie. Pourtant, c'est ton sourire qui me permet de résister aux opérations et aux entraînements. Quand je traversai des moments difficiles, je pouvais sentir ta main dans la mienne et tes mots d'encouragements. Tes yeux couleur de la mer étaient mon seul refuge quand je sentais que je perdais pied. Mais aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres, tu n'es pas venu me voir et, du haut de ma fenêtre d'hôpital, j'attendais ta venue. Ma cage thoracique se serrait de plus en plus et j'avais du mal à respirer. Ne pouvant lutter, je me fis silencieuse comme la machine à côté regrettant juste de ne pas t'avoir dit merci d'avantage et de ne plus jamais pouvoir plonger mon regard dans tes yeux bleus si apaisants...

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Je m'étais juré de toujours veiller sur toi et il ne fut pas un seul jour où je ne tenais cette promesse. Tu étais le soleil qui illuminait ma vie. J'admirais ta force de vivre et ta capacité à sourire au destin qui t'avait si cruellement fait défaut. Je venais te voir tout les soirs pour te lire un livre ou te faire faire des exercices de mathématiques. J'adorai la façon dont tu étais concentrée quand je lisais. Tes yeux blanchis à cause de la maladie suivaient avec attention la lecture. J'étais toujours là pour t'aider si tu avais besoin de moi, je travaillai dur pour pouvoir payer tes médicaments mais cela m'allait. Je te tenais la main pour te prouver que ma présence n'avait rien d'un hasard. Pourtant un soir, je fus retenu contre mon gré par un professeur. Plus il me parlait, plus je voyais l'heure tourner. Quand,enfin, il me laissa partir, je courus jusqu'à l'hôpital. J'achetai des fleurs en chemin pour me faire pardonner mon retard. Bientôt, j'arrivai à ta chambre, tu étais immobile. Je m'approchai de toi et t'appelai. La machine derrière toi avait cessé de fonctionner. Je criai ton nom et te suppliai de me répondre. Tu ne m'as plus jamais rien dit...




3eme histoire :

Je n'étais qu'un petite fille sans défense et aussi innocente qu'une jeune fille pouvait l'être. Mes yeux violets faisaient peur à tout le monde... Sauf à toi. Tu m'as tendu la main et, depuis, je ne l'ai plus jamais lâchée. Nous étions comme des soeurs, les gens nous confondaient à mon plus grand bonheur ! Jamais je n'avais tissé de liens aussi forts avec une personne. Nous n'étions qu'une, toi avec tes cheveux roses et tes yeux bleus et moi, avec mes cheveux bleus et mes yeux violets? Ta gentillesse et ta sagesse faisaient de toi une personne formidable et je t'admirai. Mais pourtant, un soir où nous riions ensembles dans une rue déserte, je sentis des mains m'attraper et me tirer en arrière. Je t'entendais crier et cela m'étais insupportable. Alors je me débattais en criant ton nom pour que tu m'entendes. Le voile noir devant mes yeux se leva et je te vis à deux pas de moi, tenue par des hommes en noir. Je voyais les larmes perler aux coins de tes yeux. Je sentis quelque chose de froid contre ma tenue puis le noir m'envahit tandis que j'entendais ton hurlement...

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Toute petite, on me reprochait mon mauvais caractère et mes manières. Les adultes ne m'aimaient pas et les enfants de mon âge m'évitaient sauf toi... Je suis venue vers toi alors que tu étais encore seule et je te tendis la main. A ma grande surprise, tu l'a prise et tu ne la lâcha plus jamais. Plus le temps passait, plus nous étions proches toutes les deux et on se mit à s'aimer comme des soeurs. Des soeurs qui partageaient tout, qu'on confondaient, qui riaient ensemble. Je te trouvais tellement jolie avec tes yeux violets et tes beaux cheveux bleus. On s'était juré que rien ni personne ne nous sépareraient jamais. Mais, un soir où nous nous amusions, dans une rue, des hommes habillés en noir sont arrivés et nous ont saisies. je criai pour alerter les gens et je voyais que tu te débattais. Deux hommes m'immobilisèrent et te placèrent devant moi. Je vis cet homme pointer cette chose horrible sur toi. Mes yeux se remplirent d'horreur et mes larmes commencèrent à couler. Il y eut un grand bruit et tu t'effondras tandis que je hurlais. Depuis je hais la vie et le destin qui m'ont si cruellement pris ma sœur, la seule personne que j'aimais...




4eme histoire :

L'air était lourd dans cette petite pièce où nous étions tous enfermés. Nous respirions difficilement et j'étais en sueur. Depuis 4 ans, je suis retenu ici et tu m'as toujours dit de garder espoir et de ne pas abandonner, quelqu'un finirait bien par nous trouver... Mais jamais personne n'est venu. Ils nous faisaient des choses affreuses et, si on osait contester les ordres, ils nous enfermait dans une pièce sombre sans eau ni nourriture pendant 2 jours. Toute la journée, ils nous faisaient travailler sous un soleil de plomb sans pause sauf les 10 minutes qu'on avait à midi. J'avais peur de ne pas tenir et c'est là que tu es apparue, me redonnant de l'espoir. tu veillais sur moi comme personne ne l'avais jamais fait. Ton sourire me redonnait du courage comme il redonnait courage à tout le monde. Ma grande sœur... Si tu étais avec moi, j'ai le sentiment que tout irait bien... Un jour je m'effondrai sur le champ de travail, trop épuisé pour continuer. Tu me pris dans tes bras pour me ramener et me posas. J'étais tellement fatigué que je fermais les yeux et m'endormis... Personne n'est jamais venu me réveiller...

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J'ai été capturée à l'âge de 14 ans et depuis ce jour, je n'ai plus revu ma famille. On m'emmena dans un endroit où on m'apprit que je devrais y travailler jusqu'à la fin de mes jours. J'étais rongée par la colère lorsque je te vis, toi, si petit dans ce grand monde remplit d'injustice. Tu me regardais comme si tu pensais que j'étais la déesse qui venait te libérer. Alors, je me suis approchée de toi et t'ai fais mon plus beau sourire. Celui où je mettais tout le courage et l'espoir qui me restait. Je voulais te sauver toi, peut importe si moi je mourrai, il fallait que tu t'échappes et que tu vives. Tu m'appelais et me considérais comme ta grande sœur ce qui réchauffait mon cœur. Il fallait que je me batte, pour ta vie. Mais un jour où l'on travaillait, je te vis tomber et, aussitôt, je me précipitai vers toi. Te voyant tomber de fatigue, je décidai de te ramener à la cellule où nous dormions pour que tu te reposes. Je fus forcée de retourner travailler et je revins le soir pour te réveiller. Tu t'étais endormi pour un sommeil trop long... Tu n'as plus jamais ouvert les yeux et tu ne m'as plus jamais appelé grande sœur...


Voilà... Laissez moi vos avis dans les commentaires ! Pas trop durs s'il vous plait ça fait longtemps que j'avais pas posté !
Et puis je me suis assez pris de mauvais commentaires méchants alors soyez gentils.