Salut salut ! Ceci est une fiction ItaNaru ! J'espère que vous l'aimerez ! ^^ En fait, au début, je voulais faire un ItaNaru car c'est le couple que je préfère dans Naruto. Et donc voici est le résultat !
Tsunade, en tenue de médecin, ouvrit la porte de la chambre 125 de l’hôpital de Konoha, étage psychiatrie. Elle ouvrit le dossier du patient en question, l’éplucha un instant, puis s’avança vers le lit où un jeune ninja la regardait sans vraiment la voir. Elle prit une chaise, s’assit, puis dit au jeune homme d’une voix douce :
- Alors Neji, ça va mieux depuis la dernière fois ?
- Il va venir… Il va tous nous tuer. Il me l’a dit.
- Tu es en sécurité ici. Calme-toi. Rien ne t’arrivera. Je te le promets. Tout va bien.
- Non. Il me l’a dit. Il va venir.
Tsunade soupira, puis continua :
- Allons. Tu as fait des progrès depuis la dernière fois. Tu reparles. Mais il faut que tu me dises ce qu’il s’est passé. Comme un grand.
Immédiatement, Neji changea d’attitude. Il prit sa tête entre ses mains puis hurla, les yeux écarquillés, des larmes coulant sur ses joues :
- Non. Il va me tuer ! Laissez-moi ! Partez ! Laissez-moi tranquille !
- Hokage-sama ! hurla un psychiatre en entrant dans la pièce, alerté par les hurlements, laissez-le ! Nous le prenons en charge !
La blonde le regarda, peinée, puis quitta la pièce, le laissant seul avec les spécialistes. Hinata attendait devant la porte, la regardant avec espoir, elle secoua la tête. La pauvre kunoichi s’en alla alors, pleurant silencieusement.
- La pauvre. Elle est persuadée que Naruto est innocent, dit-elle pour elle-même.
Puis elle partit pour son bureau. Elle s’assit derrière, puis demanda à Shizune :
- Où en est la mission de Sakura ?
- Nous n’avons pas de nouvelles depuis la dernière fois. Sakura est portée disparue depuis deux semaines.
- Merde ! éclata Tsunade en frappant violemment son bureau.
Loin de toute cette agitation, Naruto se réveillait, pris d’une bonne humeur soudaine. Il regarda Itachi qui dormait, ses longs cheveux noirs détachés formant comme une auréole couleur de jais. Naruto sourit, puis colla son dos contre son torse, profitant de ces derniers moments de tendresse avant la dure journée qui l’attendait. Quelques minutes plus tard, des bras protecteurs entourèrent sa taille et une bouche avide de baisers parcourut son dos. Naruto se retourna puis captura les lèvres d’Itachi. D’humeur généreuse, celui-ci le laissa diriger le baiser. Après ce moment de tendresse, ils se levèrent doucement, prêts à affronter la journée. Ils étaient en train de déjeuner quand Itachi demanda à Naruto, sa tasse de café dans la main droite :
- Tenshi (ange) ? C’est bien aujourd’hui que tu commences ta fonction de chef de section ?
- Oui ! Je suis tout excité !
C’était limite s’il ne sautillait pas sur sa chaise.
- Tu sais qui sera ton second ?
- Kiiro ! Elle m’a dit qu’elle m’avait réservé une proie toute fraîche !
- Ne la massacre pas trop. Le but est quand même d’obtenir des infos…
- Tu me connais !
- Justement, répondit-il en se levant. Bon ! Allons-y ! Nous avons une réunion dans vingt minutes.
- Attends-moi ! Je me brosse les dents ! J’arrive !
Puis, cinq minutes plus tard, enfin prêts, ils partirent. Sur le chemin, Naruto demanda à Itachi d’une voix timide qui ne lui ressemblait pas :
- Ai (amour) ?
- Mh ?
- Tu… tu me portes sur ton dos ?
Itachi sourit face aux joues rouges et au regard fuyant de Naruto.
- Bien sûr ! Viens là.
Le visage illuminé par l’autorisation d’Itachi, Naruto monta, tout content, sur le dos d’Itachi. Il replia ses jambes, comme un koala, autour de la taille du brun et enfouit sa tête dans les cheveux corbeaux qui sentaient si bon. Qu’est-ce qu’Itachi aimait le matin depuis qu’il sortait avec le blond ! Pourquoi ? Tout simplement que ce dernier était toujours plus câlin à la sortie du lit, réclamant caresses et baisers et agissant telle une collégienne en manque. Par la suite, dans le courant de la journée, il devenait plus sauvage, plus dominateur. Un comportement très singulier mais particulièrement intéressant. Uke soumis le matin, seme qui est en dessous parce qu’il n’a pas le choix le soir. Du jamais vu ! Et c’était bien ce qu’aimait Itachi chez Naruto. Il n’était pas comme les autres. Il était unique. C’était sa perle, et il n’avait pas l’intention de la partager. Et c’est sur cet élan de possessivité que le brun, et le blond, qui était redescendu entre temps, entrèrent dans le bâtiment utilisé pour les réunions des dirigeants d’Uzushio. Ils arrivèrent dans une salle où trônait une immense table, pour dix personnes, en verre. Sept sièges étaient déjà occupés, il ne manquait donc plus que Master. Naruto s’installa sur la chaise, devant l’étiquette portant son nom et sa fonction et Itachi fit de même. N’ayant rien d’autre à faire, Naruto observa les autres chefs. Il en connaissait déjà certains comme Konan ou Sasori. Tout d’un coup, il se figea. C’était quoi ce bordel ? Qu’est-ce Gaara faisait là ?! Voyant que son ami le fixait comme s’il venait d’une autre planète, Gaara expliqua alors au blond, en lui montrant son étiquette :
- Chef de la section espionnage. La fratrie No Sabaku est infiltrée dans le village de Suna. Étant Kazekage, je suis très occupé c’est pour ça que je suis le seul à avoir deux seconds.
- Putain…
- Tu en connais d’autres des infiltrés. Lee, Kiba, Hinata… C’est comme ça qu’on a su que tu avais été promu nunkenin de rang S.
Putain… Combien y avait-il de choses qu’on lui cachait encore ?
- Beaucoup gamin, dit Kyubi, et si tu te laisses abattre à chaque fois qu’on t’annonce un truc choquant t’as pas fini ! Putain Ichibi arrête de me les briser et fous-moi la paix, merde ! Je parle, là ! Nibi, arrête de te marrer et aide-moi ! Cet idiot me mord la queue ! Il me mord la queue ! Y a que moi que ça choque ?!
Naruto soupira. Ça s’amusait bien là-dedans ! Mais pensant que son démon avait - encore - raison, il passa outre et continua à bavarder avec Gaara jusqu’à ce que Yahiko arrive, faisant se taire toutes les discussions. Tout le monde le salua d’un « Bonjour, Master » solennel et respectueux auquel il répondit par un « Bonjour mes enfants ! » tonitruant. Apparemment, la discrétion était de famille… Le reste ne fut qu’une réunion assez inutile durant laquelle on lui souhaitait la bienvenue, bla bla bla. Il s’amusa à faire un morpion avec son voisin de table, qui se faisait autant chier que lui, si ce n’était plus. À la fin de la réunion, tous les chefs se levèrent dans un crissement de chaises insupportable et rejoignirent leurs seconds qui les attendaient à la sortie. Temari et Kankuro, qui venaient pour Gaara, le saluèrent chaleureusement avant de tourner les talons quand leur benjamin vint les rejoindre. Voyant que Kiiro l’attendait à la sortie pour le conduire à sa section, Naruto se tourna vers Itachi pour lui dire au revoir. Il prit son visage entre ses mains et déposa un rapide baiser sur ses lèvres.
- J’y vais, sinon Kiiro va me tuer. Une vraie furie cette fille !
- On se verra peut-être dans la journée !
Naruto lui envoya un baiser par les airs et rejoignit Kiiro.
- Allez ! En route !
Ils parlèrent de tout et de rien pendant le trajet, la blonde lui expliquant les us et coutumes de la section, les horaires, la mini hiérarchie interne…
- Comme je te l’ai déjà dit, nous t’avons réservé un petit cadeau tout frais !
Elle l’avait dit avec un léger sourire sadique ancré sur le visage.
- C’est un cadeau de bienvenue ! Nous ne lui avons même pas encore tapé dessus ! J’ai dû me battre pour ça, tu sais ?
- Merci !
- Ah ! On y est ! Naruto, bienvenue dans ton nouveau domaine ! s’exclama-t-elle en écartant les bras au ciel.
Un ninja les attendait à l’entrée.
- Kiiro-sama, Naruto-sama, on vous attendait tous avec impatience. Votre cadeau vous attend. Suivez-moi, tout est déjà prêt.
Ils suivirent l’homme dans les couloirs de la section. Naruto s’était attendu à des couloirs sombres donnant la chair de poule dont les cris d’agonie retentissaient mais non ! Les couloirs étaient parfaitement éclairés à l’aide de fenêtre ; on ne soupçonnait pas les activités qu’on y menait à l’intérieur. Le ninja s’arrêta devant une porte. Il l'ouvrit et pénétra dans la pièce, invitant ses supérieurs à en faire de même et referma la porte derrière eux. Là part-contre, on entrait dans une pièce beaucoup plus lugubre. Les murs insonorisés, la salle dans une légère pénombre, un chariot avec des multitudes d’objets de torture : des crochets, des piques, de l’eau, des chiffons. Il y avait aussi une sorte de table basse ronde en bois massif avec des menottes accrochées à quatre extrémités, prêtes à être attachées aux membres des malheureux, et d’autres objets tous aussi horribles les uns que les autres. Naruto en frémit d’excitation, puis s’appropria alors la rage et la haine de Kyubi. Dark-Naruto était de retour… Enfin, il posa ses yeux sur la pauvre victime qui avait eu la malchance de lui servir de cadeau. Et là, il poussa un cri de surprise mêlé à de la joie :
- Tiens ! Comme on se retrouve, Sakura-chan ! s’exclama-t-il en insistant bien sur le « chan ».
À l’entente de la voix de son ancien camarade, celle-ci cessa de se débattre pour espérer s’enfuir (L’espoir fait vivre !) et leva son regard plein de haine vers le blond.
- Naruto ?
Elle avait presque craché ce prénom.
- Le monde est petit rosinette ! T’es pas contente de me voir ? C’est pas gentil ! On va pourtant bien s’amuser tous les deux !
- Naruto, intervint Kiiro, commençons, j’ai autre chose à faire sans vouloir te vexer.
- Hai ! Bon ! Et bien à nous deux !
Le ninja sortit, et Kiiro s’assit sur une chaise, admirant le spectacle. Naruto s’avança vers Sakura en se léchant les babines, se délectant de la peur que l’on pouvait lire sur le visage de celle-ci. En proie à la terreur, elle tenta de briser ses chaînes qui la retenaient au mur.
- Mon cadeau de bienvenue tente de se faire la malle ? C’est pas gentil ça !
Sakura tremblait à présent. Naruto regarda autour de lui, puis attrapa une sorte de corset de fer muni d’une manivelle (je tiens à préciser que cet appareil existe réellement. Il s’appelle The scavenger’s daughter. Je l’ai juste modifié un peu. Beaucoup. Mais les effets sont les mêmes ! Vous allez voir c’est magnifique). Il l’ouvrit puis plaça l’appareil autour du corps de Sakura. Il partait du menton puis s’arrêtait au niveau de la taille, laissant tout de même des bras de libre. La victime commençait alors à pleurer toutes les larmes de son corps, à supplier.
- Allons, allons, conduisons-nous en adulte. Je veux que tu me dises en quoi consistait ta mission, ce que tu venais fouiner par ici, tout ce que tu sais et que je ne sais pas à propos de Konoha.
Malgré sa terreur, Sakura eut le courage de répondre :
- Jamais.
- Mauvaise réponse.
Il prit alors la manivelle entre ses doigts et la serra. Sakura serra simplement légèrement les dents.
- On va commencer doucement. Alors ?
- Va te faire foutre.
- Re-mauvaise réponse.
Il se mit alors à serrer plus fort. Là, Sakura poussa un cri et ferma les yeux.
- On va se mettre d’accord. Tant que je ne serais pas satisfait de ta réponse je continuerai de serrer.
Et c’est ce qu’il fit. Il tourna la manivelle, tourna, tourna… Sakura hurlait tellement fort que même les murs insonorisés ne pouvaient pas contenir les cris. Les membres de la section qui passaient devant la porte écarquillaient les yeux, lâchaient un « Et ben putain ! » et ne s’attardaient pas. Au bout d’un moment, à force d’être compressée, la mâchoire de la rose se disloqua vers l’arrière. L’hémoglobine jaillit du bout de ses doigts et éclaboussa le blond. Du sang se mit à couler du nez, des oreilles, de la bouche, des yeux de Sakura. On entendit le craquement sonore des côtes et du sternum. Kiiro, qui regardait le tout avec une grimace de dégoût, soupçonna même la colonne vertébrale de s’être décalée. Sakura hurlait, hurlait. De la pure souffrance qui donnerait des frissons à la plus grosse des brutes. Mais à cause de sa mâchoire, ses cris se transformaient en une sorte de hurlement inhumain digne d’une bête en pleine mutation.
- Je devais te localiser ! dit-elle comme elle le pouvait.
Naruto cessa alors de serrer et la regarda avec intérêt.
- J’avais pour mission de trouver ce que tu étais devenu, avec qui tu t’étais allié, bégaya-t-elle en essayant de ne pas s’étouffer avec son propre sang. Le village ne sait rien de ce tu fais. On sait juste que tu as failli tuer Ino-Shika-Cho et que c’est à cause de toi que Neji est devenu fou.
- Ça c’est la meilleure de l’année ! s’exclama Kurama.
Naruto ne le montra pas mais il était en même temps troublé et amusé. Ils sont quand même marrants.
- J’étais ici par hasard.
Naruto fronça les sourcils et posa sa main sur la manivelle.
- C’est la vérité ! dit-elle, prise de terreur.
Elle toussa à cause de son état et faillit s’étouffer, du sang s’étant infiltré dans ses poumons.
- J’étais là par pur hasard. Je me suis demandée où j’irais me cacher si jamais je devais fuir.
- C’est bon. Je suis satisfait. Mais ! ajouta-t-il en voyant Sakura souffler de soulagement, tu comprends que je ne peux pas te laisser partir maintenant que tu sais où on se cache… Mais comme je suis de bonne humeur ce matin, j’ai décidé de ne pas te tuer. Alors je vais effacer ta mémoire. Tu ne m’en veux pas j’espère ? Kiiro-chan !
- J’arrive.
Elle se plaça devant Sakura, plaça ses mains sur son front puis dit :
- Memory no justu ! Changes (technique de la mémoire ! Changements) ! Après être partie du village, tu es partie en direction de Suna car tu t’es dit qu’il irait sans doute chez son ami. Malheureusement, sur le chemin, tu es tombée sur une embuscade de voleurs et tu as été vaincue. Ils t’ont laissée pour morte dans le désert.
Les mains de la blonde se mirent à briller et Sakura s’évanouit. Une fois certain qu’elle n’avait plus aucuns souvenirs d’Uzushio et que le clan Yamanaka ne pourrait aller chercher que les faux souvenirs, Naruto sortit de la cellule, la rose sous le bras. Il se dirigea vers la section infiltration. Dans le hall, il alla vers un guichet et demanda :
- Je viens voir Gaara.
- Gaara-sama n’est pas disponible, il a dit qu’il ne voulait pas être dérangé.
C’est alors que la secrétaire vit ce que transportait Naruto. Elle devint alors toute verte, plus blanche. Naruto crut même apercevoir du bleu.
- Bureau 9. Troisième porte à droite, dit-elle en tremblant.
- Merci !
Et, sans se presser, il entra dans le bureau de son ami. Celui-ci s’apprêtait à réprimander celui qui avait osé pénétrer dans son bureau quand il vit la touffe blonde caractéristique de son frère de cœur.
- Qu’est-ce qui t’amène, Naruto ?
- J’ai besoin de toi, répondit-il en posa sans délicatesse une Sakura inconsciente sur le bureau.
- Je suis désolé, je n’ai pas de compétence en matière de pompes funèbres.
(Tiens ! Gaara s’est mis à l’humour !)
- Elle est toujours vivante, dit-il en roulant des yeux. J’ai besoin que tu lui fasses croire que tu l’as retrouvée dans le désert entourant Suna et que, la voyant blessée, tu lui es venu en aide.
Gaara soupira puis répondit en faisant signe à Temari de prendre en charge la rose.
- Réfléchis avant la prochaine fois, je ne serai pas toujours là pour rattraper tes bêtises.
- Merci beaucoup ! Je savais que je pouvais compter sur toi ! Salut ! J’ai un rapport à faire !
Et il quitta la pièce sous le regard amusé du roux.
Une fois dehors, il s’assit sur un banc et commença à rédiger le rapport qu’il irait donner à la section d’Itachi. Ceci fait, il se leva, fit la moue quand il constata le sang de Sakura sur ses vêtements mais partit quand même. L’amour n’attendait pas !
Itachi triait des dossiers. Ceux qui allaient directement chez Master à droite, ceux qui avaient un problème à gauche. Un tampon sur chaque enveloppe pour prouver que le courrier était bien passé par la section renseignements… Le brun soupira, posant ses lunettes à côté de lui. Soudain, une main se posa sur son épaule, puis glissa sur son torse, sous son tee-shirt, titillant ses tétons. L’Uchiha poussa un soupir de bien-être, avant de se reprendre et de se retourner vivement (Note de la Bêta : Vive les chaises à roulettes !). Il reconnut Naruto, qui lui tendait un rapport, un sourire mutin aux lèvres. Itachi fit alors la moue. Encore du boulot en plus.
- La paperasse t’ennuie ? demanda le blond sensuellement en s’asseyant sur les genoux de son amant.
- Mouais. Je suis pas fait pour ça.
- Ça te dit de venir te changer les idées ?
- C’est pas l’envie qui me manque, crois-moi, mais j’ai du boulot…
- Allez… Ça passera inaperçu… On va le faire dans ma section… J’ai une super idée… minauda-t-il, sachant pertinemment qu’Itachi ne pourrait pas résister.
Et pour appuyer ses pensées, il commença à parsemer la nuque du brun de baisers. Celui-ci, n’en pouvant plus, captura sauvagement les lèvres de son conjoint.
- Change-moi les idées Tenshi… murmura-t-il à son oreille.
Comme réponse, Naruto eut un sourire carnassier. Itachi les téléporta alors dans les couloirs de la section torture et entra dans la première cellule qu’il vit. Après avoir vérifié si la pièce était vide, Naruto se détacha de son brun qui grogna.
- Attends Ai, tu vas voir.
Et il s’allongea sur l’espèce de table basse de bois massif qu’il avait vu quelques temps plus tôt. Itachi haussa un sourcil :
- Des tendances masochistes ?
- Arrête de dire n’importe quoi et mets-moi les menottes.
Naruto se retrouva donc, les jambes et les bras en croix, attaché et immobilisé, jetant à son amour un regard lubrique. « Oh putain » fut tout ce qu’Itachi trouva à dire avant de se déshabiller et de se jeter sur Naruto.
Au loin, dans une certaine section scientifique, un certain marionnettiste en blouse blanche (Et oui… Je suis une fan de Sasori… Désespérée quand il est mort, prête à se pendre quand il meurt pour la deuxième fois… Je ne pouvais pas le laisser comme ça quand même ! En blouse d’hôpital il serait tellement sexy…) poussa un cri, victorieux cette fois-ci, et s’écria :
- J’ai trouvé !
Et voilà ! Fin de ce chapitre ! La suite au prochain épisode ! Je sais, je fais toujours en sorte que vous me détestiez à la fin de mes chapitre ! ;)
J’espère que ce chapitre vous a plu ! Il fait quand même 3000 mots et des poussières ! Profitez c’est du jamais vu ! J’espère que le lemon vous a plu aussi ce n’est que le quatrième que j’écris dont le troisème yaoi je suis encore débutante dans ce domaine-là…
Bisous bisous mes chibinekos !
Ti Cathy