Lâcheté, lâcheté, dévoreuse d'âme fragile ...


Fanfiction Naruto écrite par Kurenaï-Yuhii (Recueil de Kurenaï-Yuhii)
Publiée le 31/05/2012 sur The Way Of Naruto



Yep !

Alors oui, j'ai créer mes propres personnages, parce qu'aucun de vrai ne représentaient ce que je voulais /SPAF/
J'ai donc créer mes petites personnettes *-*
C'est ma premières fanfiction avec humains T__T

Bonne Lecture o/ ~



Chapitre 1: Si jolie mon enfant, si toi, si Morro ...



Si jolie mon enfant, si toi, si Morro ...

Lâcheté, c'est si douloureux... Pour le lâche et celui qui as été trahis. C'est si dévorant, si effrayant, si lâche ... C'est quelque chose qui ronge de l'intérieur, prêt, guettant le bon moment pour resurgir dans la pensée, cette pensée que l'on avait terrer au fonds, tout au fonds d'un cœur mal forgé , mal assuré.

C'était une simple mission de rang D ... C'était une simple patrouille ... Ce fut un simple tombeau ...
C'était la nuit, tout était sombre, les lumières de Konoha l'étaient presque toutes. Seuls quelque aventureux de la pénombre sortaient par ce temps, si froid, et le vent qui arrachait un cris de tristesse berçaient les plus fougueux des enfants. Par cette sombre nuit d'hiver, deux jeunes genins sautaient agilement le long des troncs d'arbre de la grande forêt qui entourait le village. Seul le hululement de la chouette résonnait au clair de lune. Dans un bref mouvement de tête, toutes deux s'avancèrent. Toi qui savait qu'elle avait peur, tu n'a rien fait pour la rassurer quand tout cela fut arrivé . Telle la plus folle des herbes, les fillettes avançaient rapidement sans aucun bruit, sans aucune respiration. Leurs cœurs n'étaient pas saccader, leurs mains ne tremblaient pas, tout allait pour le mieux du monde.

- Hinaru ...

C'était la plus grande des deux qui avait murmurer ses mots, sortant un kunaï de sa poche d'équipement droit. Son longs cheveux presque blanc frôlèrent son cou à son mouvement brusque. Sa tenue argentée, aux multiples rayures noires se soulevait plus fortement maintenant, en signe de sa respiration accelèrante. Mais elle gardait tout à fait son calme, contrairement à la jeune Hinaru qui, grands yeux ouvert, je précipita sur un côtés d'un arbre, se recroquevillant sur ses faibles genoux, où aucune cicatrice n'apparaissait. C'était clair que jamais de sa vie, elle n'avait osez lever le point sur une fourmis ! Mauve ... Tout mauve, voilà ce que voyait la grande soeur d'Hinaru, ses yeux avaient pris une dimension qui était inconnu du monde, d'elle même à vrai dire. La rosace noire qui se fondait au fonds de ses pupilles se dilata rapidement. Le danger était la, guettant, telle un serpent sa proie. Serrant de plus en plus la mâchoire, elle indiqua fermement le silence à la plus jeune des deux filles. Pourquoi ne réagissait pas au mouvement de main de sa plus grande soeur ? Elle était faible, oui, cette petite genin n'était prête que pour des missions à l'intérieur du village, mais voilà un trop gros danger qui s'approchait. Le vent amenait l'odeur du sang, cette odeur si chaude, si délicate, mais si frissonnante et poisseuse. Ce sang appartient-il a cette ennemi ? Déjà affaiblit ? Trop faible, tu ne sert à rien, petite, gentille, aimable, voilà ce que tu es ! Bien une fille de Konoha ! Mais moi, je suis bien mieux que toi ...

Les puissants muscles de la plus grande roulèrent sous sa peau, à l'affut, prêt à sauter pour éviter un objets tranchant ou un parchemin explosif. " Mais qu'est ce que tu fous Hinaru ! Lève toi, j'suis pas la que pour te défendre, j'peux pas que te défendre ! " Comme si elle l'avait entendu, la forme sombre qui se cachait sous un grand chêne gémit :

-Morro ... J'ai peur...

Ton visage qui m'a toujours fait rire, tes yeux émeraude, tes cheveux terne, noir foncée au reflets violet, tes grosses joues toujours rouges, t'a frange, ton petit nez, ton langage timide, tout cela ne sera plus. J'ai déjà cru te perde une fois, à la mort de Maman et Papa, cela ne recommencera pas ... Du moins, de le croit, je l'espère, je demeure au mort de l'oublie, de l'enfer, juste pour toi ... Hinaru.

Tout ce passa très vite, ce kunaï qui vola vers moi, mon geste de mains assuré qui me fit dévorer, cette odeur de chair brûler, tout cela me força a regarder autour de moi. Le noir, noir profonds, noir puissant, puis un cri strident, celui de mes rêves et de mes cauchemars, celui de la petite fille que j'aime, celui de ma sœur ! Je tourne frénétiquement sur mes sandales, je la vois à terre, sur les cotes, dans un grillage de maille, j'accoure, où est passer ce salop' que je lui face regretter ? Tu t'en fous, tu fonce toujours prête, mais tu va la voir, la petite, ta petite soeur.

La chouette hulule au clair de lune, mais cette fois si seul le bruit des gémissement étouffer d'Hinaru résonne. Tout c'est passer si vite, et tu n'a rien fait, tu lui avait promis de la protéger, mais une promesse n'est que souffrances du lendemain .. Promesse, c'est promettre quelque chose, une chose qui forcement t'échappera .. La promesse est faite pour être brisé ! C'est comme promettre de vivre longtemps ensemble, toujours, le plus vieux où mal en point mourra avant. Qui peu faire une promesse en pensant à ces mots ? Personne, même toi, même vous, et même moi. Tu n'a fait qu'une promesse dans t'a vie, qui déjà sera brisé .. Ôh vraiment Morro, tu as tout compris de la vie... Alors que tu frotte agressivement ton frêle couteau contre la corde, tu comprends qu'elle ne cèdera pas. Corde de Ninja, une chose infaillible ... Tu le sens revenir, plus fort que jamais, plus nombreux que jamais, tu ne sais pas ce que c'est. Tu donne des coups de mains, de dents de pieds dans la lanière, tu t'efforces de tirer encore plus fort, même si tu dois t'arracher la mâchoire, même si tu dois y rester. Vous vous regardez un instant, elle pleure, la peur se reflète plus forte que jamais, tu ferme une dernière fois les yeux, ils s'approchent, plus fort que jamais, plus nombreux...

-Morro ... ? Tu va me sortir de là ...?

Tu souris. Ce sourire que tu lui a fait depuis toujours, depuis la mort de vos parents. Ce sourire qui fait comprendre à quelqu'un de naïf que oui, tout ira bien, tout en cachant au fonds une douleur profonde. Tes mains son meurtrie, tu ne pleure pas, tu ne parle pas, à ton simple sourire, Hinaru se calme renifle pour arrêter de pleurer et déclare plus sûr que jamais :

-Je serais forte pour toi Grande Soeur !

Surprise, tu en laisse tomber ton arme, tes paupières roule sur tes yeux, tu es fatiguer et la nuit toujours plus froide engourdie. Confiance, mais douteuse, voilà ce que tu ressent, de la peine mais de l'envie. Tout ce bouscule dans t'a tête, ses dernières paroles, tes propres pensées et cette ennemi qui toujours court, vers vous... Tu te lève, soupire faiblement et te retourne. Tu ne veux pas, tu ne veux plus mourir pour elle, tu as peur pour toi, pour ta vie, et elle vient de te confirmer que sans toi, elle se débrouillera. Tu ne fais que penser ce que tu veux de ses phrases, que ce qui t'arrange, tristement, tu murmure son nom et sauta sur un arbre plus loin. Tu te mords la lèvre, tellement fort pour ne pas revenir en arrière, qu'un liquide chaud coule sur ton menton, puis tombe sur ton genou, en dessous. C'est chaud, c'est bon. Tu sais qu'ils sont arriver, tu sais que les renforts son là, et qu'elle, elle pleure à chaude larmes. Hinaru, tu ne pleura pas en vain, tu aura chaud et plus jamais faim, tu les retrouveras, Père et Mère, alors soit heureuse, pendant que moi, sautant plus loin, je m'enfuis, te laissant. Pourquoi faire ça ? Toi qui jusqu'au bout t'es battue pour sa vie ? Elle est grande, elle comprendra, loin, bien loin ... Tu a l'impression d'entendre un cris déchiré, étouffer, ton imagine te joue des tours, mais tu l'oublie déjà vite, c'est toi qui compte, seulement toi !

Je suis lâche, voilà se que je suis. Mais tu me comprends n'est ce pas Hinaru ? Tu comprends Grande Soeur non ?



Bref, j'espère que ça vous a plus, étant donner que c'est ma première Fan fiction avec des humains T.T