La vie de Sabaku No Gaara


Fanfiction Naruto écrite par Sanephar (Recueil de Sanephar)
Publiée le 10/04/2007 sur The Way Of Naruto



Je remercie Tenten8, nara688, kytty333 et tout le monde pour vos com's ! Ca me fais vraiment plaisir !!!
Sur ce place au chapitre 11 !
Bonne lecture



Chapitre 11: Deux coeurs qui s'assombrissent



Tsuki sourit tristement. Devant elle se tenait Gaara qui pleurait silencieusement. Les larmes rendaient ses yeux cernés bleu-vert. Elle sentit son cœur se serrer. Elle allait devoir le quitter.
« - Tsuki, fais vite.
- Oui maman. »
Gaara s’avança.
« - Tu vas vraiment partir ? Demanda-t-il.
- Je suis obligée mais je ne t’oublierais pas ! On gardera contact par lettre.
- Tu m’en enverras beaucoup ?
- Une par semaine ! On se retrouvera !
- Tu me le promets ?
- Promit ! »
Les deux enfants s’enlacèrent une dernière fois. Tsuki embrassa Gaara au-dessus de l’œil gauche. Elle lui caressa tendrement la joue et dit d’une voix triste :
« - Je dois partir. Au revoir Gaara-kun !
- Prend soin de toi Tsuki-chan ! »
Tsuki passa par le passage qui se referma derrière elle. Gaara décida de rentrer chez lui.

Les ninjas de Konoha traversèrent le désert. Tsuki demanda à son père :
« - Papa, il faut que j’aille dans les souterrains.
- Où ça ?
- Fais-moi confiance papa.
- D’accord mais sois rapide. »
Tsuki entra par la trappe une fois arrivée elle se dirigea vers la table et sortit de son sac le journal de Tomiko qu’elle déposa sur le meuble.
« - C’est préférable qu’il reste ici. Peut-être que si je reviens je pourrais reprendre ma lecture. » Dit-elle en souriant.
Elle sourit et reprit sa course avec ses parents à travers le désert.

Yashamaru entra dans le bureau du Kazekage précipitamment après avoir prit la précaution d’avoir frappé.
« - Est-elle morte ?
- Le piège a fonctionné mais cette gamine est … comme Gaara-sama.
- En es-tu sur ?
- Non pas vraiment mais en tout cas, elle est spéciale. A mon avis, elle … »
La conversation fut interrompu par l’arrivé d’un anbus.
« - Veuillez m’excuser Kazekage-sama mais nous avons un problème.
- Tu n’as pas réussis à tuer l’ambassadeur de Konoha ?
- Oui. Il a échappé à l’escouade. Sa famille vient de quitter Suna.
- Imbécile ! Réunis une équipe et éliminer les tous les trois.
- A vos ordres, Kazekage-sama. »
L’anbus disparut aussi vite qu’il était venu. Le Kazekage reporta son attention sur Yashamaru et celle-ci sentit qu’elle allait passé un sale quart d’heure.

Cela faisait deux jours que les ninjas de Konoha fuyaient Suna. Ils ne s’étaient accordés que des courtes pauses et ils traversés l’épaisse forêt du Pays du Feu.
« -Comment te sens-tu Tsuki ?
- Ca va. Mais quand on sera rentré je ferais un gros dodo ! »
Les deux parents sourirent. Un sourire tout de même crispé. Ils n’étaient pas encore en sécurité mais l’attitude insouciante de leur fille les détendait.
L’idée d’arriver à Konoha dans quelques heures les rassuraient jusqu’à ce qu’une volée de kunais s’abattit sur eux. Ils arrivèrent à esquiver et se placèrent dos à dos, kunai à la main, prêt à attaquer. Des shinobis les encerclèrent. Impossible de les identifier car ils ne portaient pas un bandeau frontal ou un quelconque signes symbolisant leur village. Mais ils en étaient sur, ces ninjas venaient de Suna.
Tsuki fit quelques signes et une grosse vague déferla sur les ninjas les repoussant à quelques mètres plus loin.
« - Bien joué Tsuki. Maintenant rentre à Konoha !
- Non maman ! Je veux vous aider !
- Tu l’as déjà fais. Préviens Konoha qu’ils nous envoient des renforts.
- Mais papa ! Avec ma puissance, je peux …
- Obéis s’il te plait. On se battra mieux si on sait que tu es à l’abri.
- D’accord … faites attention.
- Toi aussi. »
Tsuki partit. Quelques minutes après un ninja réussit à la suivre malgré les efforts de ses parents pour la couvrir.

Tsuki avait décidée de se diriger vers la rivière car elle ne connaissait pas la route vers Konoha par la forêt. En revange une rivière passait près du village, alors en remontant le courant de la rivière elle atteindrait le village.
Elle allait l’atteindre quand elle sentit quelque chose lui rentrer dans l’épaule. Elle se retourna et vit un ninja lui envoyer une volée de shurikens qu’elle évita. Elle l’attira vers la rivière et l’imprudent la suivit sur son terrain. Cette fois-ci elle allait le tuer. Ce n’était pas dans sa nature mais c’était nécessaire.
Elle l’attira au centre de la rivière tout en esquivant les projectiles qu’il lui envoyait. Puis elle composa des signes et une boule d’eau emprisonna le malheureux à l’intérieur. Elle attendit quelques minutes pour être sur que le ninja était asphyxié puis elle le libéra. Pour être sur de ne pas être surprise si le ninja était encore en vie, elle lui trancha la carotide et reprit sa course.
Le kunai enfoncé dans son épaule lui faisait horriblement mal. Mais si elle l’enlevait elle accentuerait l’hémorragie et elle avait encore deux heures avant d’arriver à Konoha. Mais bientôt la fatigue la rattrapa. Elle ralentissait de plus en plus son rythme et bientôt plus aucun mouvement ne lui serait possible. Elle perdait beaucoup trop de sang et son petit corps lui rappelait qu’elle n’avait pas les 5 litres d’un adulte. Il fallait qu’elle regagne la berge avant que… non trop tard. Elle n’avait plus assez de chakra, plus assez de force. L’accident dans les souterrains, le voyage et le combat contre le shinobis lui avait tout prix. Elle avait atteint sa limite.
A présent elle goutait à l’eau glacée de la rivière qui l’engloutissait. Bientôt respirer lui serait interdit. Elle pouvait presque sentir la vie s’envoler dans chacune de ses cellules.
Elle n’avait jamais pensée qu’un jour elle serait trahit par son allié, son élément qui lui procurait une telle force. Et maintenant l’eau elle-même la tuerait à petit feu en la privant d’oxygène.
Elle pense à tous ses proches, les larmes lui montèrent aux yeux et se mêlèrent à l’eau de la rivière. Puis un sommeil sans fin l’enveloppa d’une douce chaleur.

Yashamaru entra doucement dans la chambre de Gaara et le trouva recroquevillé sur son lit pleurant à chaude larme. Depuis que Gaara parlait à Tsuki elle le trouvait plus … humain, plus enfant. Elle n’arrivait pas à l’aimer, lui qui avait volé la vie de sa précieuse sœur Tomiko. Mais faire semblant, le lui faire croire était plus facile grâce à cette enfant de Konoha.
Yashamaru s’assit sur le bord du lit de Gaara et l’appela doucement. Gaara releva son visage baigné de larmes et dévisagea sa tante.
« - Pourquoi êtes-vous triste Gaara-sama ?
- Tsuki-chan est partie …
- Il … était préférable pour elle de partir.
- Pourquoi Suna veut lui faire du mal ?
- Ce n’est pas Suna Gaara-sama. Ce sont d’autres shinobis qui ont usurpés l’identité de nos shinobis.
- Tu sais qui a fait ça ?
- Kazekage-sama a envoyé des anbus pour enquêter. »
Tout cela n’était qu’un tissu de mensonges mais pour que Gaara ne se révolte pas contre Suna, il fallait qu’il croie que son village n’était pas responsable de sa séparation avec Tsuki.
« - Elle me manque … Dit Gaara en refoulant un sanglot.
- C’est normal. Mais vous la reverrai un jour Gaara-sama.
- Merci Yashamaru.
- Je suis ravie de vous avoir aidé. Vous devriez venir manger maintenant. »
Gaara suivit Yashamaru, le cœur un peu plus léger.

Elle sentait petit à petit son corps et ses sens s’éveiller. Bientôt elle entendit des bruits de pas, des voix, des machines autour d’elle. Son esprit encore embrouillé se demandait où elle se trouvait. Ne s’était-elle pas noyée dans la rivière ?
Puis une pensée vint raviver toute son énergie ou du moins en impression.
« - Maman ! Papa ! S’écria-t-elle en se relevant brusquement.
Un mal de tête l’envahit, la lumière trop vive et les bruit trop assourdissant augmentaient ce mal qui l’obligea à se replonger sur ses oreillers.
« - Tu ne devrais pas te lever comme ça ! »
Elle tourna la tête vers la voix douce et ferme qu’elle venait d’entendre. Une jeune femme en blouse blanche ajustait sa perfusion.
« - Qui êtes-vous ?
- Je suis médecin de l’hôpital de Konoha. Je m’appelle Kana.
- Moi c’est Tsuki … comment j’ai fais … pour être toujours en vie ?
- Gai-senpai, un jounin de Konoha est passé prés de ta position. Tu as eut beaucoup de chance.
- Et mes parents ? »
Un gros silence vint accueillir sa question. Mort ? Blessé ? Etat critique ? Une angoisse vint envahir Tsuki. Pourquoi ce médecin ne répondait-elle pas à sa question ?
Elle voulait savoir et elle aurait sa réponse. Elle arracha ses perfusions de son bras et sauta hors du lit sous les cris de Kana qui lui disait d’arrêter. Mais elle ne s’arrêta pas et sortit de l’hôpital sous un ciel sombre.
Elle savait parfaitement où trouvait sa réponse : la stèle des morts aux combats. Son angoisse monta au fur et à mesure qu’elle courait. Elle percuta un shinobis habillé en vert, ne prenant pas la peine de s’excuser, elle continua sa course imperturbable. Son angoisse avait atteint le maximum quand elle chercha le nom de ses parents.
Son cœur s’arrêta. Ses parents se trouvaient en bas de la liste. Ils étaient les shinobis morts les plus récemment.
« - Ce … n’est pas … possible… » Souffla-t-elle.
Elle n’eut que pour réponse la pluie qui commença à tomber comme pour symboliser la profondeur de ses émotions. Elle se laissa tomber à genoux trop abasourdie mais aussi parce qu’elle n’était pas tout à fait remise des précédents événements. Elle était encore trop faible et cette nouvelle venait de lui voler le peu d’énergie qu’elle venait de retrouver.
La pluie tomba sur elle, sur son visage se confondant avec ses larmes. Elle exprima toute sa peine dans ces petites gouttes salées. Elle n’avait même plus la force de crier pour pouvoir évacuer son chagrin par des cris.
Elle sentit une main se poser sur ses épaules. Elle se tourna et vit le ninja en vert qu’elle avait bousculé. Il lui sourit et lui dit :
« - Je ne pensais pas que tu étais déjà sortit.
- Qui êtes-vous ?
- Je m’appelle Maito Gai, je suis le grand fauve jade de Konoha et … »
Mais Tsuki ne l’écouta plus. Elle reporta son attention sur la stèle. De quel droit se permet-on de la déranger ? Ne pouvait-elle pas pleurer tranquillement ?
« - Dis petite, tu devrais être fière de tes parents. Ils se sont battus courageusement pour le village.
- Si j’étais restée j’aurais pu les aider…
- Ne dis pas de bêtises. Tu n’es qu’une enfant. Tu serais morte avec eux. Ce n’est pas une solution. »
Apparemment ce Gai ne savait pas qu’elle possédait un démon. De toute façon il ne devait pas le savoir. Elle avait promit à ses parents de ne rien dire sur sa véritable nature.
Il l’aida à se relever et la raccompagna à l’hôpital en lui disant qu’elle devait écouter la jeunesse du printemps l’envahir. Elle l’écouta discrètement. L’attitude de ce jounin l’amusée malgré la situation.
Tsuki fut surprise quand elle entra dans sa chambre, l’Hokage et la ninja-médecin étaient là. Cette dernière se précipita vers la petite pour l’essuyer avec une serviette son corps complètement trempé.
« - Je te remercie Gai d’avoir ramené Tsuki. Peux-tu nous laisser pour que je lui parle un moment ?
- Bien Hokage-sama. »
Il sortit de la pièce en faisant un dernier sourire étincelant à la fillette. L’Hokage invita ensuite Tsuki à s’assoir sur le lit.
« - Je suis désolé de ne pas être venu plus tôt. Je suppose que tu as découvert la mort de tes parents brusquement. »
Tsuki se contenta d’hocher la tête en fixant un point imaginaire dans le vide.
« - As-tu des questions à me poser ?
- Oui. Pourquoi est-ce que je suis toujours vivante alors que mes parents sont morts ?
- On ne peut vraiment donner de raison à cette tragédie Tsuki. On ne peut pas non plus dire pourquoi une personne doit vivre alors que d’autres doivent mourir.
- Mais si j’étais restée avec eux … j’aurais pu les aider.
- Peut-être mais pense-tu que tu aurais pu vraiment empêcher ce drame d’arriver ?
- Avec mon … euh ma force … oui.
- Tes parents ont agit pour te protéger. Ne reste pas sur cet évènement et continue à vivre pour eux. C’était leur souhait.
- …
- Avant de te laisser Tsuki, je voulais te présenter la personne qui s’occupera de toi jusqu’à ce que tu sois en âge de te débrouiller toute seule.
- Qui est cette personne ?
- C’est moi. »
Tsuki détourna la tête pour voir Kana, un grand sourire aux lèvres. Ses longs cheveux noirs descendaient sur ses reins. Ses yeux marrons pétillèrent de joie et d’une voix douce et chaleureuse elle dit :
« - Viens avec moi, Tsuki. Je vais te faire montrer où nous allons habiter. »
Tsuki se leva et prit la main que Kana lui tendait. Elle n’avait pas envie de parler, ça sera seulement avec le recul qu’elle pourra remercier ceux qui l’ont aidée.
« - Tsuki, avant que tu partes, sais-tu qui vous attaqué ?
- Non Hokage-sama. Ils ne portaient pas de bandeaux ou d’autres signes de leur village.
- Je te remercie Tsuki. »
Tsuki se doutait que c’était Suna qui était responsable de la mort de ses parents mais elle ne devait pas dénoncer la traitrise de Suna à son village. Cela signifierait qu’elle pourrait plus voir Gaara-kun si jamais ces deux pays étaient en guerre. Ses parents étaient morts mais pas Gaara-kun, elle devait vivre pour lui.

Gaara était assit sur un des toits de Suna. La pleine lune brillait derrière lui éclairant de sa pâle lueur le village endormit.
Les mois s’étaient écoulés depuis la mort de Tsuki et sa famille. Yashamaru lui avait annoncé que la famille de l’ambassadeur de Konoha avait été attaquée durant le chemin de retour et qu’ils n’avaient pas pu s’en sortir. Gaara était très malheureux mais il savait que son village n’était pas responsable de cette tragédie car son père lui-même avait exprimé ses regrets et ses condoléances à l’Hokage.
Depuis ce jour, Gaara s’était promit de devenir fort pour venger la mort injuste de Tsuki. Il ferait payer les meurtriers et même le village qui est responsable de cet assassinat. Mais depuis la mort de sa copine, sa tante Yashamaru s’était montrée protectrice et gentille avec lui. Elle était la seule à part Tsuki à ne pas la rejeter.
Gaara regarda la lune et des larmes coulèrent le long de ses joues.
« - Tsuki-chan… »

Tsuki était emmitouflée dans ses couvertures. Elle avait très mal dormie, rêvant sans cesse de ses parents. Elle étouffa un sanglot. Puis les couvertures se soulevèrent montrant à Tsuki la présence de Kana. Cette dernière souriante lui dit avec entrain :
« - Allez debout ! C’est aujourd’hui que commence ton entrainement.
- Mon entrainement ?
- Ton entrainement de ninja-médecin.
- Comment savez-vous que je veux devenir ninja-médecin ?
- Hokage-sama m’en a informée.
- C’est vous qui allez être mon sensei ?
- Oui ! Allez maintenant habille-toi !
- Dites Kana-sensei … c’est à quel rang que l’on peut rendre visite à des ninjas de d’autres villages ?
- Jounin. Peut-être chuunin mais il faut avoir un bon niveau. Pourquoi cette question ?
- Non … pour rien. »
Tsuki venait de trouver un nouvel objectif, un autre sens à sa vie. Maintenant elle avait deux buts à atteindre : devenir ninja-médecin au grade de jounin et revoir Gaara.
La tristesse d’avoir perdu des êtres chers était toujours là, mais elle n’était pas à plaindre. Elle avait trouvait une tutrice qui faisait de son mieux pour veiller sur elle et elle avait la possibilité de suivre la formation qu’elle voulait.
Les prochains temps vont être durs mais elle y parviendrait … pour une promesse faite à son copain de Suna.

Les années s’étaient écoulées à Suna enveloppant le village d’une menace imminente. Cette menace portait le nom de Gaara. C’est du moins comme ça que pensait la plupart des personnes vivant dans ce village.
Temari regardait les étoiles du ciel bleu de Suna. Elle baissa les yeux pour regarder la rue et c’est là qu’elle le vit. Elle détourna les yeux quand elle croisa le regard froid et dur de son petit frère dans les rues du village. Sentant toujours son regard sur elle, elle préféra quitter la fenêtre pour éviter d’être exposé le moins longtemps à ce regard glacial.
Elle s’allongea sur son lit et laissa couler des larmes silencieuses. Elle avait détestée Gaara parce qu’il avait prit la vie de sa mère mais surtout parce que c’était un monstre. Il ne se passait pas un jour sans qu’on le lui rappelle. Mais elle aurait du se rendre compte que Gaara était avant tout son petit frère. Elle s’en était aperçut trop tard, il avait déjà changé.
Temari se souvint de cette nuit où tout a basculée. Cette nuit où elle avait entendu un cri effrayant qui s’était répercuté dans tout Suna. Quand elle avait demandé ce qui s’était passé, on lui avait répondu que c’était le démon de Gaara qui s’était réveillé. Plus tard, elle avait apprit que sa tante Yashamaru avait été tuée par son plus jeune frère.
C’est à partir de ce jour que Temari avait comprit que son petit frère était un humain avant cette tragédie et que maintenant il était devenu un monstre.
Il était trop tard pour rechanger les choses, et pourtant Temari l’espérait. A présent son frère tuait chaque personne s’opposant à lui sans regret. Ce n’était pas de la haine qu’elle ressentait pour lui mais de la crainte.
Plus rien ne pouvait changer Gaara.


Un cœur emprisonnait dans les ténèbres de la solitude,
Un cœur étouffant un chagrin,
Deux âmes qui cherchent inconsciemment la lumière,
Un monde qui anéantit l’innocence des enfants et les obligent à devenir des adultes,
Tel est leurs enfances

Preniew’s du chapitre 12 :

[…]Gaara marchait dans les rues de Konoha. Sa destination ? L’hôpital. Son but ? Pour Tsuki bien sur. Cette amie d’enfance qui avait promit de lui écrire et qui ne l’a jamais fait, qui a ignoré son existence comme tout les autres à Suna. Elle l’avait trahit comme l’a fait Yashamaru. Elle n’avait pas voulut le tuer, certes, elle avait fait pire, elle l’avait carrément oublié, elle l’avait irradié de sa vie. Et elle allait payer pour ça. […]



Voilà ... l'enfance touche à sa fin ...
J'étais un peu nostalgique de laisser Gaara enfant ...
Mais bon faut bien du changement !
Quoique en parlant de changement, je me demande si vous aimerez toujours ma fic quand Gaara grandira ... c'est qu'il n'est pas trop gentil au moment des exam' de chuunins alors pour ceux qui trouvent Gaara choupinou enfant, je me dis que ça fera un changement important ...
Quoiqu'il en soit, votre avis m'aide toujours !!