Comment somme nous devenu ce que l'on est.


Fanfiction Naruto écrite par hokage71 (Recueil de hokage71)
Publiée le 03/07/2010 sur The Way Of Naruto



Bien alors j'espère que sa va vous plaire. Le premier chapitre est consacré pour Pein et Konan.


Chapitre 1: Chapitre 1 : Moi Pein



Chapitre 1 : Moi Pein.

Hanzo la salamandre et Danzô le chef de la RACINE, se trouvaient devant moi. Tout d’un coup Hanzo nous regarde et nous propose de les rejoindre, et d’apporter la paix avec eux. Yahiko et Konan, mes deux compagnons de route et seuls survivants avec moi d’Ame, me regardent, puis se retournent vers l’homme qui vient de nous parler.

Yahiko, accepte l’offre, mais, tout d’un coup, Hanzo apparaît derrière Konan et la prend en otage. Il nous regarde, Yahiko et moi, nous ne sommes que des enfants et il me confronte à un impitoyable dilemme. Soit je tue Yahiko, le garçon qui m’a pris sous son aile, soit, il tue Konan, celle qui m’a donné à manger lorsque ma famille s’est fait tuer et que je m’étais retrouvé seul.

Je ne peux en aucun cas, tuer mon ami, mais, je ne peux laisser cet homme tuer Konan. Hanzo me lance un kunaï, mon réflexe est de sortir l'un des miens. Il me repose une nouvelle fois ce dilemme.

Je regarde Konan, elle pleure et nous crie de fuir, je tourne mon regard vers Yahiko, celui-ci est concentré sur la scène qui se déroule sous nos yeux. Puis tout d’un coup, il se tourne vers moi et me dit :

-Il n’y a pas d’alternative, tues moi.

Je le regarde, je ne pourrais jamais tuer un compagnon, c’est impossible. Yahiko, s’avance vers moi, derrière lui Hanzo sourit, tandis que Konan pleure, mon camarade s’approche encore de moi. Quand il fut en face de moi, il me prie de protéger et de tout faire pour garder Konan en vie. Il m’avoue, qu’il l’aimait et que si cette guerre ne s’était pas déroulée, il lui aurait demandé de sortir avec lui.

Maintenant il est plus près de moi, il me demande de s’avancer vers lui, je fais un pas. Yahiko se jette sur mon kunaï et fais ainsi croire au ninja que c’est moi qui l’ai tué. Un sourire apparaît sur le visage du preneur d’otage. Il contemple en souriant la scène. Soudain il lâche le kunaï qui se trouve sous la gorge de la fille et lui fais signe de me rejoindre.

Je prends le corps inerte de Yahiko et le dépose au sol. La pluie commence à tomber, des larmes coulent le long de mes joues; il pleut sur mon corps comme il pleut dans mon cœur; je sens tout proche de moi Konan, je sais qu’elle a compris qu’il s’est jeté sur l’arme. La fille, elle aussi s’accroupit près du cadavre et pleura. Au loin résonne des rires, Danzô et son acolyte rient, suivis par les ninjas qui les accompagnent. Je sens en moi une grande colère.

Je relève la tête, les hommes, ont soudain une expression de surprise dans leur regard, puis, Hanzo hurle l’ordre de nous attaquer et de nous éliminer. Le sol tremble sous nos pieds, une meute de ninjas armés jusqu’aux dents nous fonce dessus. La mort va venir nous prendre nous aussi.

Non ! On ne mourra pas, nous aussi, j’ai promis à Yahiko de protéger Konan, je ne peux pas rompre cette promesse. Je regarde les hommes et je fonce face à eux. Plus je m’approchais plus je sentais ma défaite qui s’approchait.

Soudain, j’appose mes mains au sol, et fais apparaître Gobi, la statue fais un massacre, que dis-je, un carnage parmi nos adversaires. Je ne leur permettrais pas de s’approcher de mes deux amis. La statue a l’air de répondre à ma colère, à ma tristesse.

Les attaquants, tentent en vain, de la briser. Mais Gobi est toujours debout, elle avance, dans les rangs ennemis. Décimant tous sur son passage. Soudain, l’endroit devient calme, il ne reste plus un seul survivant. Je cherche dans les corps, celui d’Hanzo et de Danzô, mais, ils ne sont pas là. Ces lâches ont fuit le combat.

Je regarde, les corps qui m’entourent, je vois que Konan est toujours penchée sur Yahiko, comme ci elle voulait le protéger. Je m’approche d’elle, m’accroupie et lui chuchote à l’oreille trois mots, trois simples mots, mais qui ont un pouvoir plus dévastateur que les armes.

Ces trois mots étaient « Il t’aimait », elle sert plus fort le corps et pleure encore plus intensément. Soudain elle tombe inconsciente, la fatigue a pris le dessus sur elle, je la porte dans mes bras et va la coucher dans une grotte à l’écart du champ de bataille.

Mon travail n’est pas terminé, je retourne sur place, et creuse une tombe à la force de mes mains, pour Yahiko. Quand le trou fut creusé, je descendis à l’intérieur avec la dépouille de mon cher ami. Je le couche lui ferme les yeux, saute pour ressortir et l’enterre, je prie pour qu’il puisse continuer à vivre dans un monde meilleur.

Je trouve pas loin de la tombe, une pierre que j’emmène, près de la tombe, je sors un kunaï et grave « Yahiko, un enfant innocent tué par les ninjas ». Puis, je retourne dans la grotte où j’ai laissé ma coéquipière seule. J’enlève ma veste, lui pose dessus, et m’allonge au sol à côté d’elle.

Le lendemain matin, je l’emmène, sur la tombe que j’ai creusée et où gît Yahiko. Nous prions une nouvelle fois, pour le repos de son âme. Quand la cérémonie fut terminée, Konan se tourne vers moi et me demande ce que l’on va devenir. Je m’approche plus près d’elle, lui sèche les larmes et lui assure que l’on va s’en sortir. Même si j’en doute fortement.

Nous partons, à la recherche d’un endroit où nous pourrons nous poser et où nous pourrons vivre. Mais à chaque fois que l’on trouve un village, celui-ci, ne veut pas de nous, ils ne veulent pas de rescapés et surtout quand les rescapés en personne viennent d’Ame.

Nous continuons donc, notre périple à la recherche, d’un foyer. Un jour des gens âgés bien attentionnés, nous accueillent. Mais un autre jour, la maison familiale se fait attaquer, les personnes âgées se font assassiner devant nos yeux. Nous revivons, une période encore plus dur, les personnes étaient pour nous comme nos parents. Konan, me regarde et me dit :

-A quoi bon rester en vie, si nous devons vivre dans un monde de guerre et d’horreur.

Je la regarde dans les yeux et lui dis :

-Si les vivants ne veulent pas faire disparaître la guerre, je vais faire en sorte d’apporter la paix dans ce monde. Veux-tu m’aider dans ma tâche ?

Konan, me regarde et hoche la tête. Nous quittons une fois de plus, notre attache dans ce monde et partons pour faire vivre la paix dans ce monde fatigué et ravagé par le chaos. Nous marchons de villages en villages, aidant leurs habitants. Tout d’un coup, nous arrivons dans un endroit, où seule une maison persiste. Nous nous dirigeons, près de la chaumière et frappons à la porte.

Un homme masqué nous ouvre la porte et nous fait entrer chez lui. La maison est petite, mais accueillante. L’homme nous propose de nous asseoir et nous sert un verre d’eau. Le liquide ingéré, il nous pose une question :

-Que faites-vous tout seuls dans une contrée comme celle-ci ?

Je lui narre notre périple. Il m’écoute attentivement, puis, il soupir et se ressert un verre d’eau. Il se lève fait un tour dans la maison s’arrête devant l’unique fenêtre, puis se retourne et dit :

-Moi aussi, j’ai vécu ce que vous avez enduré. J’ai était chassé de mon village.
-De quel village venez-vous ? Demande Konan.
-Peu importe, c’est du passé maintenant.

Je baille, l’homme me propose son lit pour dormir, mais je cède ma place à l’unique fille du groupe qui vient de tomber endormie. L’adulte, s’approche d’elle, rapidement je me place devant lui et lui interdis de la toucher. L’homme me regarde me sourit et dit :

-Tu es un bon garçon, tu protège tes camarades.

Je porte la fille et la pose dans le lit, puis, je me rassois sur une chaise et fait face à l’homme. Je le regarde en le défigurant, tout d’un coup, j’ai eu un moment de surprise car un point rouge apparaît par l’unique trou qui se trouve dans son masque. Il rigole et m’explique qu’il possède un Dojutsu, je lui montre moi aussi mon pouvoir, le Rinnengan.

Après avoir vu, mes yeux il se tourne vers Konan, la regarde, puis se retourne vers moi et dit :

-Tu veux apporter la paix, tout comme moi. Si l’on s’alliait, pour faire disparaître ce chaos ?
-…

Je ne sais pas si je dois accepter l’offre, je pose mon regard sur Konan et l’observe. La guerre est pénible pour elle. Je ferme les yeux réfléchissant à l’offre. Quand je rouvre les yeux, ma décision est prise.

-Alors ? Me demande l’homme.
-Tout d’abord dite moi comment vous vous appelez ?
-Mon vrai nom est secret, mais je me fais appeler Tobi.
-Et bien Tobi, j’accepte votre offre.
-Très bien Nagato. Je vais te donner le pseudonyme de Pein.
-Pein, ça veut bien dire souffrance ?
-Tout à fais.
-Très bien, et que proposez-vous, pour apporter la paix ?

Il m’expose son idée, quand il eut terminé son récit je reprends la parole et dis :

-Très bien, Akatsuki apparaît à partir d’aujourd’hui.
-Nous serons donc tous les deux les fondateurs de cette organisation. Tu iras recruter des personnes de ton côté pendant que moi, je recruterais aussi des personnes.
-Très bien Tobi. Dis-je en lui serrant la main avant d’aller me coucher.



Alors ? Sa vous a plut ?