Shinobi


Fanfiction Naruto écrite par KsoMendokze (Recueil de KsoMendokze)
Publiée le 28/10/2010 sur The Way Of Naruto



Bonjour,

Voici le chapitre, oui le chapitre ! Du suspens...De l'action...M'enfin, je crois.

En gros les choses commencent à bouger, Naruto ne se lamente plus son sort (...quoique..), on gueule, on pleure, on rit, on retient son souffle, on a envie d'étriper l'auteur...(Attention, ceci est un point de non-retour.) et on a envie de Milka au riz soufflé...Bref je m'égare. XD

Et on remercie le travail de starmoniela qui travaille dans l'ombre et essaie de rectififier mes erreurs...!

En gros, je vous souhaite à tous une très bonne lecture.

N'hésitez pas à me laisser un petit mot à la fin ça fait toujours plaisir…



Chapitre 4: Troisième chapitre



Troisième Chapitre :

Deux yeux couleur du sang. Et à l’intérieur, trois virgules noires tournoyantes. Des mèches folles d’ébène. Le cœur qui rate un battement, dans sa poitrine. Et son esprit dans le flou, le temps de quelques secondes. Plus rien ne comptait. Il n’y avait que ce visage…Ce visage devant lui, déformé par la colère. Colère qu’il ne comprenait pas, qu’il ne pourrait jamais réellement comprendre. Jamais, réellement. Après tout, n’avait-elle pas raison, cette voix si cruellement douloureuse ? Que pouvait-il y comprendre, lui ? Lui, qui n’avait ni père, ni mère. Ni frère, ni sœur. Rien. Seulement…Seulement…

« NARUTO ! »

Naruto s’était alors réveillé, trempé de sueur. Les cauchemars revenaient, toujours plus violents que les précédents et ça pour une raison qui lui était encore inconnue. Essayant de calmer sa respiration encore saccadée et son cœur dont les battements se faisaient plus violents, il avait tenté de chasser l’image trouble qui ne cessait d’hanter ses cauchemars.

« Salopard. »

Cela avait fait deux jours qu’il séjournait dans une chambre d’hôtel, à proximité de Kumo, le village caché des Nuages. Deux jours, que lui-même et son équipe, se renseignaient sur Nibi et pour la même occasion, recherchaient toute trace de l’Akatsuki. Mais par tous les Dieux, comment faisaient-ils ceux là ? Ils ne laissaient jamais aucune trace de leurs passages. Deux jours sans résultat.
Et puis, il y avait eu ce coup de fil. Son portable vibrant dans la poche d’un de ses jeans. L’esprit encore tourmenté par cette voix, il s’était précipité, le cœur battant encore à la chamade, et avait raccroché, sentant un vif sentiment s’emparer de lui. Un sentiment qu’il ne pouvait, même maintenant, qualifier d’un quelconque adjectif mais une chose était certaine : à cet instant précis Naruto n’était pas dans son état normal.

« Oui. J’écoute ? »

Le silence. Troublant. Et puis une voix. Une voix grave et masculine qui prit, enfin, la parole.

« Demain, aura lieu lors de la conférence privée du Raikage, un attentat contre celui-ci. Ce ne sera en fait qu’une diversion. Les agresseurs ne seront, d’après nos recherches, que des mercenaires à la solde d’Akatsuki. Bien évidemment, ceux-ci en tireront profit. »

Cette voix. Sans s’en rendre compte, sa respiration s’était accélérée et une de ses mains s’était d’ailleurs agrippée violemment à son T-shirt, au niveau du cœur. La voix. Rallumant le feu d’un torrent de sentiments d’une violente intensité, elle l’avait rendu fou. Les images colorées défilèrent rapidement, encore une fois, dans sa tête. Une équipe. Quatre membres. Deux poings qui se cognent fraternellement. De l’amitié. De la rivalité. Un lien. Fort, bestial presque, incontrôlable. Du sang dans les pupilles des yeux qui lui font face. Des pleurs. De l’impuissance. Du sang, encore une fois. Son propre sang coulant à flot. Et sa propre voix, criant, suppliant ce nom. Ce nom qu’il ne fallait plus prononcer.

«Je…Est-ce…»

Naruto ne reconnut pas même sa voix, brisée par l’émotion. Mais pourquoi cette voix provoquait-elle cela ? Ca ne pouvait être lui, après tout. Cela faisait cinq bonnes années qu’ils étaient sans nouvelles…Pourquoi après ce si long silence, aurait-il décidé de le recontacter ?

« Nous nous occuperons d’Akatsuki, quant à Nibi nous vous laissons vous-en charger, Konoha. »

Pourquoi ? Pourquoi cette voix ne prononçait-elle pas même son nom de famille ? Avait-elle peur qu’il la reconnaisse ?

« Sa… »

Trop tard. On avait raccroché.

***


« Comment peux-tu en être aussi sûr, Kyûbi ? » Demanda pour la énième fois Sakura.

L’air passablement énervée, elle suivait Naruto, qui en-tête du groupe, marchait à grands pas assurés au milieu des rues de quartiers luxueux du Pays de la Foudre. Naruto était tout bonnement devenu fou pendant la nuit. Renonçant à toute vigilance, voilà qu’ils se jetaient dans la gueule du loup ! Eux, des intrus du Pays de la Foudre, voilà qu’ils allaient rendre une « visite » au Seigneur du Pays. Tout cela, parce que Naruto, s’était réveillé un bon matin avec cette idée, profondément ancré dans la tête. Et le pire dans tout ça, c’était qu’elle était la seule à vouloir des explications. Kakashi-sensei, lui n’avait pas cherché à comprendre, suivant son élève dans une confiance aveugle qu’elle aurait pu qualifier d’irresponsable. Sai, quant à lui, n’avait pas non plus pipé mot, et avait décidé de suivre sagement son supérieur. N’y avait-il qu’elle de sensée dans cette équipe de fous à lier ?

« Je te parle ! » Gronda-t-elle à Naruto, qui lui tournait toujours le dos, l’ignorant totalement.

De plus l’altitude plus que suspecte de Naruto, la perturbait. Non, pire que ça. Elle lui faisait atrocement peur. Depuis ce matin, il n’avait pas dit un mot et restait terriblement silencieux, l’air perdu dans ses pensées. Réfléchissait-il ? Rien que le fait que cette idée l’ait effleurée, redoubla l’inquiétude de Sakura. Courant presque derrière Naruto- c’était qu’il marchait vite vers sa propre perte, l’inconscient- elle le rattrapa pour pouvoir marcher à ses côtés. Il ne parut pas la remarquer, ce n’est que quand elle prit la parole qu’il sembla s’apercevoir de sa présence :

« S’est-il…s’est-il passé quelque chose ? »

Derrière son livre, les yeux de Kakashi se détournèrent paresseusement des pages couvertes de lettres imprimées tandis que le sourire de Sai s’effaça, un instant, pour laisser place à une expression d’intense concentration.
Les deux yeux bleus rencontrèrent ceux, verts, de sa coéquipière. La flamme qui se consumait à l’intérieur immobilisa Sakura, le temps d’un instant. Bouleversée, elle resta là, immobile. Ce n’est que lorsqu’elle sentit une larme couler le long de sa joue, qu’elle reprit ses esprits et s’empressa de le rattraper en courant. Naruto. Naruto, que s’était-il donc passé ? Pourquoi avait-il l’air si émotionnellement remué ?

Ils ne s’arrêtèrent qu’à une dizaine de mètres d’une immense tour. Naruto, la tête levée vers le sommet du bâtiment, Kakashi, quant à lui, rangea son livre dans une de ses bandoulières, tandis que Sai surveillait les alentours dans un discret mouvement de tête rotatif. Sakura, elle, ne quitta pas une fois des yeux Naruto, transpercée par un sentiment plus que poignant.
Un long silence s’en suivit, seulement troublé par l’orage. Naruto ne sembla même pas gêné par les gouttelettes qui glissaient le long de son visage, tête nue, il regardait encore l’immense bâtiment qui leur faisait face.

« En ce moment le Raikage tient une conférence. Bien entendu, toutes les personnes influentes ont été invitées. Je pense qu’il compte leurs présenter le projet Nibi, ledit projet est donc quelque part à l’intérieur de ce bâtiment, pas très loin du Raikage.

-Attends, Kyûbi, comment sais-tu tout cela ? »

Ce n’était pas Sakura qui l’avait interrompu. Celle-ci était trop occupée de le couver d’un regard protecteur et perturbé. C’était Kakashi-sensei. Il avait rangé son livre, et le visage sérieux il fixait, de son seul œil visible, sévèrement son élève. Elève qui avait baissé la tête vers lui et soutenait à présent son regard, l’air effronté :

« On m’en a informé, tout simplement.
-Informer ? Qui t’as informé de ça!? »

Sakura avait repris ses esprits, et plus rapide que Kakashi-sensei, elle avait posé la question que tous avait en tête. Naruto fronça un instant les sourcils devant tant de regards suspicieux :

« Il y a plus important, apparemment Akatsuki devrait être, également, de la partie. Ils auraient engagé des mercenaires afin de provoquer la panique et en profiteraient pour s’emparer de Nibi.

-Mais tu ne comprends pas la situation, ces informations pourraient être fausses ! Quelqu’un pourrait… »

Les yeux bleus se plantèrent sur ceux verts de Sakura qui eut un mouvement de recul instinctif devant l’intensité du regard d’azur.

« Ecoute, je serai prêt à donner ma vie si cela pourrait mettre Konoha en danger. Cela dit, j’ai une entière confiance en la personne qui m’a donné cette information. Tu ne peux pas comprendre ça ! Tu ne l’as pas…Tu ne l’as pas entendu !»

Devant son emportement, Sakura ne trouva plus rien à dire. En silence, elle vérifia l’état de son matériel, c'est-à-dire son assortiment de quelques armes tranchantes et de pistolets qu’elle rechargea, avant de passer trois oreillettes avec micro intégré à chacun de ses coéquipiers.

« J’espère au moins que tu as prévu un plan, n’est-ce pas Naruto ? »

Brusquement, Naruto se tendit. A dire vrai, il n’y avait pas vraiment pensé. Tant pis, ils improviseraient, voilà tout. Mais que dire, pour l’instant, à Sakura-chan ?

***


Suigetsu lâcha un rire méprisant. Rougissement honteux. Karin s’empressa de remonter ses lunettes sur son nez, essayant sans grand succès de garder sa dignité. Et lorsqu’elle croisa les yeux moqueurs de Suigetsu, elle se sentit obligée de se justifier en usant de sa voix sévère habituelle :

« Mais…Mais c’est que c’est très haut ! »

Le rire de Suigetsu redoubla tandis que Juugo se contentait d’ignorer leurs échanges plus qu’exaspérants. Du sommet de la tour où tenait la conférence du Raikage, tous trois attendaient le signal, leurs grappins soigneusement accrochés.
C’était entièrement de la folie, en y repensant mais il était trop tard pour reculer. D’un œil indifférent, il jeta un regard à ses coéquipiers occupés à se disputer, peut-être était-ce un moyen de se détendre… Hors du commun mais bruyant quand même.
Un coup de feu.

Karin ne répliqua pas à la remarque insultante, tressaillant, alors que les yeux de Suigetsu se tournèrent, presqu’avec amusement, vers le vide :

« Il faut y aller. »

Pour toute réponse, Karin ferma nerveusement les yeux avant de se jeter dans le vide.

***


Le portable de Naruto avait arrêté de sonner, lorsqu’un deuxième coup de feu se fit entendre. Et tandis que Naruto, l’air terrifié, s’était arrêté de se confondre en excuses bafouillées, une détonation retentit.

« C’est un signal. »

Naruto s’était tourné vers le bâtiment de verre, à l’entente d’un bruit assourdissant. Levant les yeux vers ciel, il put apercevoir…

« Un hélicoptère. »

Conforté dans son hypothèse et sans plus réfléchir, il se mit à courir à toute allure vers la tour en s’égosillant la voix :

« C’est un signal ! Le signal ! »

Abasourdie, Sakura fixait le ciel, en effet, tranchant dans un brouillard pluvieux, un hélicoptère noir se dirigeait vers la Tour. Sans plus se poser de question, elle s’élança à la suite de ses coéquipiers, le cœur battant sous le coup de l’excitation et de l’inquiétude.
Ce ne fut pas bien difficile de rentrer, apparemment la sécurité avait dû monter à l’étage où se tenait une fusillade, d’après les échos qu’elle entendait du couloir. Naruto était devant, courant à toute allure vers les marches métalliques de l’escalier. Sans aucune hésitation, il se mit à gravir les étages avec une impétuosité qu’elle ne lui avait, encore, jamais vue. Naruto avait beau se démener à chaque mission comme celle-ci, jamais encore elle ne l’avait vu dans un état pareil.

« Il faut trouver Akatsuki ! »

Ce fut ce qu’il lança par-dessus son épaule, à moitié couvert par le bruit de leur course qui résonnait dans la cage d’escalier. Après une dizaine de minutes, ils atteignirent enfin l’étage qui posait problème. Naruto se baissa vivement, les sens en alerte, tandis qu’une balle siffla à quelques centimètres plus hauts que sa tête.
Il roula prudemment sur le côté, en se protégeant derrière la porte métallique défoncée avant d’évaluer la situation. La pièce aurait paru belle avec ses rangées de bureaux en métal qui l’entouraient en son centre, laissant ainsi un immense espace de marbre vide où devait se tenir le Raikage, probablement. Seulement, elle était dévastée. De nombreux morceaux de plâtre traînant un peu partout et la poussière empêchaient une bonne visibilité. Des écrans d’ordinateurs et d’innombrables micros, sur lesquels on aurait pu glisser, étaient également éparpillés sur le sol. Mais il parvint tout de même à distinguer des silhouettes floues. Quelques unes combattaient au corps à corps, tandis que la plupart s’étaient retranchées, en deux camps distincts et en arrière, de manière à se protéger, tout en attaquant par des multitudes de balles qui sifflaient dans les airs.

Interloqué, Naruto aperçut le jeune homme qu’il avait déjà vu à l’aéroport. Ses cheveux argentés voltigeant librement derrière lui, il achevait d’assommer son adversaire à l’aide d’un tisonnier qu’il avait trouvé on ne sait où. Après s’être assuré de l’état inconscient de l’homme, il s’empressa de disparaître derrière une rangée de sièges noirs, c’est à cet instant que ses yeux croisèrent les siens.

L’apparition d’un sourire et les yeux violets qui pétillent de malice.

« Hé ! A la place de t’inquiéter pour ton prince charmant, tu ferais mieux de voir qui voilà ! »

Une femme à la chevelure d’un violent rose fluo qui apparait à la droite de Naruto et qui beugle en rajustant une paire de lunettes sur son nez :

« Ta gueule, saleté, arrête des dire des âneries plus grosses que toi ! »

Et derrière les lunettes, deux yeux d’un rose surprenant rencontrent le regard bleu décontenancé et après une poignée de secondes, la femme est devant lui. D’un rapide coup d’œil, elle s’informe de la situation, remarquant Sakura, Kakashi et Sai avant d’empoigner violement le bras de Naruto afin de le tirer vers elle et de lui chuchoter à l’oreille dans un sifflement désagréable :

« Qu’est-ce ça veut dire ? Pourquoi votre équipe est-elle là ? »

Naruto se dégagea d’un mouvement brutal de la poigne de la femme, fronçant les sourcils :

« Là n’est pas la question ! Où est Nibi ?! »

La jeune femme fronça les sourcils à son tour, devant une telle insolence. Mais après une bonne dizaine de secondes, elle consentit à répondre, en se mordant les lèvres :

« Sur le toit avec l’Akatsuki.

-Et qu’est-ce que vous foutez-là ? »

Naruto ne put réprimer cette exclamation impulsive, tandis que ses yeux bleus devinrent orageux. Il ne connaissait absolument pas cette femme et n’avait aucune envie d’en faire la connaissance, elle lui paraissait tout bonnement antipathique avec ses mouvements secs, vifs et brutaux. Elle devait sûrement partager ce sentiment vu son regard et la rancœur présente dans sa voix lorsqu’elle lui répondit :

« Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, il y a ceux-là, dit-elle en pointant les hommes en noir retranchés derrière un bureau qui leur faisait face, et ils ont la ferme intention de nous tuer, vous y compris maintenant.

-Vous tuer ?

-Vous êtes idiot ou vous le faites exprès ? Nous sommes au courant pour Nibi… Et puis certains sont probablement sous un genjutsu très puissant…Je n’avais jamais vu ça, auparavant.»

Les yeux de Naruto s’agrandirent tandis que ses poings se serraient. Itachi. Probablement. Non tout compte fait, c’était plus que probable…Mais si Itachi était là, cela voudrait dire que…

« Kyûbi ?!! »

Naruto se retourna pour voir une Sakura, plus qu’énervée. Rageuse, elle pointa Karin du doigt avant de continuer sur sa lancée, maintenant qu’elle avait l’entière attention de son coéquipier :

« Qui c’est ça ? Comment peux-tu avoir confiance en…»

Avant que Karin ne puisse rétorquer quoique ce soit, Naruto se leva et répliqua :

« Pas le temps ! Faut qu’on aille sur le toit !

-Aller sur le toit ? S’époumona Karin, on a besoin de renfort au cas où vous ne l’auriez pas remarqué… »

Et ignorant tout bonnement Karin, il se mit à courir, gravissant les étages aussi vite qu’il pouvait, tandis que Sakura restait là, choquée, ne comprenant plus rien à la situation accompagné de ses deux autres coéquipiers. Elle n’en revenait pas, Naruto, Naruto venait de les laisser en plan ! Elle le voyait presque disparaître lorsqu’elle sentit la brûlure d’une écorchure sur son bras gauche.

Son état comateux ne dura pas plus de temps, d’un mouvement vif, elle se baissa et fit ce qui lui restait à faire : se battre pour défendre sa vie, en priant pour que Naruto ne fasse pas de bêtises.

***


Sa course solitaire résonna longtemps dans la sombre cage d’escalier. Il ne s’était même pas rendu compte que Sakura, Kakashi et Sai ne le suivaient plus. Tout son monde ne se réduisait qu’à courir pour arriver à temps. Son cœur cognant contre sa poitrine, il avançait toujours plus haut, toujours plus vite, les yeux rivés vers la fin de ces marches interminables. Une foule de sentiments confus embrumait sa tête, mais il s’en fichait, tout ce qui lui importait c’était d’y arriver à temps, pour ne pas, surtout pas, pour une fois, le rater.

« Surtout, surtout, attends-moi, teme ! »

Et là enfin, devant lui, éblouissante, la Lumière. C’est sans aucune once d’hésitation qu’il franchit la porte ouverte vers le ciel, sans avoir même pris la peine de se protéger, les yeux grands ouverts.

A cet instant, Itachi Uchiwa se retourna et ses yeux noirs rencontrèrent ceux bleus de Naruto. Le noir devint rouge sang et Naruto ne se rendit compte, qu’à cet instant précis, de la gravité de la situation.



Alors ?

Alors ?

Avez-vous pleuré, gueulé, ri, retenu votre souffle, eu envie de Milka au riz soufflé ?

Ressentez-vous l'envie en ce moment-même d'enserrer le cou délicat de vot' stupide auteur ?

J'attends vos mots d'amours...ou éventuellement vos menaces de morts....