Cet examen devient finalement le premier "arc" de ma fic, chose qui n'était pas prévue j'avoue que j'ai hâte d'en finir, si tout ce passe bien je finirais ça dans le prochain chapitre.
Le seigneur Hareyaka, daimyou du pays des forêts se lève pour faire une annonce au nom des kages.
- Après consultation, nous avons décidé que la finale se terminera par des combats en duo, les binômes vont être annoncés aux candidats en début d'après-midi.
Le dirigeant d'Ame se lève pour prendre la suite, ses yeux sont cachés par les bandelettes de papier qui pendent de son chapeau de paille et le col de son manteau noir cache le bas de son visage (les nuages rouges sont partis au lavage).
- Afin de laisser aux blessés le temps de retrouver leurs moyens, les combats reprendront demain en milieu de matinée. Les participants pourront se familiariser avec leur coéquipier provisoire jusque là.
Sur ce, les tribunes commencent à se vider dans le brouhaha des discussions, la nouvelle suscite le plus grand intérêt, après tout cela n'avait encore jamais été fait. Les jeunes shinobis sont conduits à l'infirmerie pour s'assurer de leur état, puis le déjeuner est pris en commun soi-disant pour voir si certains auraient plus d'affinités. En fait c'est surtout pour ne pas avoir à courir après tout le monde pour annoncer les binômes (oui les kages aussi peuvent être feignants, regardez Tsunade). Jet parle avec les genins de la pluie avec lesquels il a déjà travaillé ainsi qu'avec Chojurou et Karui qui comparent leurs techniques au sabre. En bout de table, les deux candidats d'Ame sont en face des Kyuuketsuki qui eux s'ignorent complètement, Neji et Kankurô fermants ce cercle qui se trouve à côté de celui formé par Doki, Fûu, Kinai et Mitsu.
Au final cela représente assez bien les alliances des pays. Une heure après, Genma et les senseis des Chûnins potentiels entrent dans la salle où ces derniers sont rassemblés pour annoncer la suite des événements.
- Écoutez tous, je vais vous appeler par binômes, les combats seront annoncés demain. Vos senseis sont là pour vous aider à vous entraîner, vos coéquipiers pourront vous aider aussi mais personne d'autres. Est-ce clair ?
- Oui.
- Tout à fait.
- Comme de l'eau de roche.
- ...
- Bien, je ne veux aucun commentaire pendant que j'énonce.
- Groupe 1: Jet et Akita Kyuuketsuki de Konoha.
- Groupe 2: Neji Hyuuga de Konoha et Karui de Kumo.
- Groupe 3: Shigure et Midare d'Ame.
- Groupe 4: Doki Kazahana de Yuki et Kankurô Sabaku de Suna.
- Groupe 5: Chojurou de Kiri et Fûu de Taki.
- Groupe 6: Mitsu Kamizuru d'Iwa et Kinai Siruna de Kusa.
Les duos ainsi formés repartent avec leur senseis, celui des Kyuuketsuki est emmené dans le dojo de leur clan, Goshikku et Hayate sentent comme une tension entre eux.
- Pourquoi je me retrouve avec lui ?
- Parce que les kages l'ont décidé. Répond son sensei.
- On peut savoir pourquoi ça vous dérange ?
- J'ai bien une idée...
- Et qu'est-ce que c'est Jet ?
- On m'a dit que c'est parce que je suis arrivé plus loin qu'elle à sa première participation.
- Ça je m'en moque. Répond Akita.
- À moins que ce ne soit plus que ça. Dit Goshikku.
- Qu'est ce que vous voulez dire ?
- Je ne sais pas grand chose sur votre clan, alors je me suis renseigné. Il s'avère que tu as été plus remarqué de part l'apparition prématurée de ton démon et tu es, après coup, apparu comme quelqu'un de potentiellement important. Je me trompe ?
- Non.
- Donc c'est probablement de la jalousie pure et simple.
- C'est vrai ça ?
- ... Tout le monde te voyait comme un génie et ils n'ont cessé de te chercher d'autres talents, tous les autres ont été mis de côté. Mon aisance avec les sceaux fut à peine remarquée à cause de ça.
- Tu crois que j'ai voulu ça ?
- Tu n'avais pas l'air de te préoccuper plus que ça de nous.
- Et comment j'aurais fait ? J'avais à peine le temps de souffler, j'étais surveillé en permanence et on me testait tout le temps alors que j'étais à peine entré à l'académie ! Au bout d'un mois quand ils ont laissé tomber tout ça, j'étais enfin libre et je ne voulais plus entendre parler de ces histoires de Dyakuni !
- Je veux bien avouer que ça a pas dû être facile, mais j'aurais aimé une preuve que tout ça valait la peine, en as-tu une aujourd'hui ?
- Et bien... *Oui, mais...* non, désolé...
- C'est bien ce que je pensais, bon allons-y qu'on en finisse avec cette finale.
- Le talent présent obscurcit par le talent potentiel, la voilà la raison. Conclut Hayate.
Goshikku prend son élève à part un instant.
- Pourquoi tu ne lui as pas parlé de ce qui s'est passé le mois dernier ?
- Pour l'heure c'est un secret qui doit être gardé.
- Je comprends... pas trop dégouté ?
- Si, un peu...
- Il faudra être patient, allez, on y va.
Ils échafaudent différents plans d'attaque et expérimentent diverses attaques et jutsus combinés, l'entraînement dure jusqu'au coucher du soleil. Les résultats sont encourageants, surtout du point de vue de la coopération, les deux genins semblent réussir à faire abstraction de leurs différents lors d'un combat. À la fin de la journée, il semble même que leur relation se soit améliorée, vu qu'ils arrivent à se parler sans avoir à se forcer.
Le lendemain matin, Jet sort de chez lui peu après l'aube pour profiter du calme avant que sa jumelle ne lui tombe dessus. Il monte sur le toit de chez lui et observe le village dont les commerces se préparent à ouvrir sous la lumière du soleil levant, dérangeants les corneilles qui cherchaient des miettes. Il aperçoit des petits groupes d'hommes portants des kimonos et de larges chapeaux de paille coniques et d'autres en armure, la plupart tiennent un sabre par le fourreau et se rendent aux alentours de l'arène.
- On dirait des samouraïs, qu'est ce qu'ils viennent faire ici ?
- Et pourquoi sont ils autant ? Dit une voix derrière Jet.
- Que... Ah, c'est toi Ayumi. Qu'est ce que tu fais là ?
- Je peux te retourner la question. J'ai fini mon service à l'hôpital et je t'ai aperçu en rentrant.
- Tu as pas l'air trop fatigué.
- C'est calme en ce moment, mais tu ne devrais pas te reposer ?
- J'arrive pas à dormir. Tu sais d'où viennent tous ces hommes ?
- Non, mais ils convergent vers l'arène, il y aura peut-être un imprévu tout à l'heure.
- Et s’ils venaient du pays des forêts ?
- On nous en aurait informés et ils ne portent aucun symbole venant de notre pays. Ils ne portent aucun symbole du tout d'ailleurs...
- Jet debout frangin!... Où tu te caches ? Hurle une voix à l'intérieur de la demeure.
- Tiens, Yoko est réveillée.
- Super...
- Allez, on descend.
Yoko aperçoit sa fratrie par la fenêtre et sort en trombe.
- Ah enfin je te trouve !
- Tu vas te calmer oui ?
- Pas tant que tu ne seras pas prêt à 100% !
- *Au secours, on dirait Gaï-senseï...* Alors de un, tu te calmes. De deux, c'est dans quatre heures. Et de trois, je peux me préparer seul.
- Bon d'accord, mais si tu échoues tu auras de mes nouvelles !
- Arrête de crier...
- Bon je vous laisse les jumeaux moi je vais me coucher.
- Bonne nuit, ou plutôt bonne journée.
- Très drôle...
Les jumeaux rentrent prendre le petit déjeuner et ce coup-ci Jet n'est pas dérangé par sa sœur lorsqu'il se prépare. Il retrouve Akita à l'entrée du domaine du clan et ils se dirigent vers l'arène, à proximité de celle-ci ils croisent l'un des groupes de samouraï que Jet à vus plus tôt, ces derniers les fixent intensément après avoir vu leurs bandeaux shinobis.
- Qu'est-ce qu'ils ont ceux-là ?
- Je sais pas mais j'en ai aperçu d'autres tôt ce matin et ils sont postés près de l'arène, vaudrait mieux garder l'œil ouvert.
- Ça a jamais été le grand amour entre les ninjas et les samouraïs, ils vont peut-être tenter un coup d'éclat en présence des kages, une occasion idéale pour tenter de ridiculiser le monde shinobi.
- C'est quitte ou double par contre.
- C'est sans doute pour ça qu'ils ne portent aucuns signes distinctifs ou d'appartenance à un pays...
Ils entrent dans l'arène et attendent l'arrivée des autres binômes. Une fois tout le monde arrivé Genma s'apprête à annoncer le premier combat, quand tout à coup les hommes que Jet a aperçus font irruption dans l'arène par l'entrée alors que d'autres cachés dans le public retirent leur capes, sautent des tribunes et se placent avec leurs camarades en cercle autour des genins à environ dix mètres. Les treize shinobis présents dans l'arène se mettent en garde, les trois sabreurs sortent leur katanas et Akita prépare ses deux kamas (faucilles droites japonaises), détache la chaîne qui les lient et l'enroule en bandoulière. Jet échange un regard avec son père et tous deux acquiescent d'un signe de tête.
- Qu'est-ce que vous voulez ? Demande l'Hokage.
- Déterminer si les shinobis sont des adversaires valables. Répondent les 19 samouraïs d'une même voix.
- Comme d'habitude... Vous, les bushis ne changerez décidément jamais ! Dit le Tsuchikage.
- Et si l'on laissait les jeunes se charger d'eux ? Dit le Daimyou.
- Vous pensez que c'est sage ?
- Ne vous inquiétez pas Mizukage-sama, s'il le faut nous enverrons des renforts.
- Mais quels renforts ? Rien n'a été prévu il me semble.
- Pas d'inquiétudes Raikage-sama, mon fils qui participe à la finale les a repérés plus tôt et le clan Kyuuketsuki s'est préparé à la hâte. Répond Gakupo qui vient d'arriver dans la tribune d'honneur.
- Votre clan nous surprendra toujours. Conclut Minato.
Gakupo saute dans l'arène et atterrit en face de Genma. Il est habillé avec un pantalon de cuir et un t-shirt à manches longues noires, une cape rouge à haut col, des bottes pourvues d'une plaque sur le pied et une autre devant le mollet, il porte trois étuis à kunais à droite de sa ceinture et enfile à son avant-bras gauche le brassard en acier noir au bordures d'argent pourvu de deux lames fines légèrement courbes presque aussi longues que son bras qui est attaché à son flan gauche.
Il lève son poing droit, le bras en angle droit, écarte les doigts et referme son poing en faisant un quart de tour. Quelques secondes après des silhouettes apparaissent aux sommets des murs de l'arène, il s'agit de membres du clan Kyuuketsuki et certains de leurs équipiers.
- Sachez que ces jeunes gens seront vos adversaires, mais si la situation l'exige nous passerons à l'action. Dit Gakupo.
- Très bien mais sachez que nous sommes les 47 ronins et que nos compagnons encerclent cette arène, alors pas d'entourloupes. Dit une voix féminine.
La personne qui a parlé est un vingtième samouraï qui vient de faire son entrée, portant une armure légère anthracite et un masque blanc représentant un visage féminin dont les lèvres et le contour des yeux sont noirs ainsi qu'une larme représentée au coin de l'œil gauche, ses cheveux rouges et noirs flottent derrière elle. Après ces mots elle retire son masque et découvre son visage qui ressemble beaucoup à celui représenté sur l'accessoire, ainsi que le bleu profond de ses yeux.
- Tomoe Gozen !
- Gakupo Kyuuketsuki... ainsi tu nous avais repérés.
- Non, c'est mon fils Jet ici présent qui vous a vus. Dit Gakupo en posant sa main sur l'épaule du concerné.
- Je l'ai vu combattre hier, il a de la ressource.
- Vous comptez attaquer Konoha ?
- Voyons, tu me connais mal mon cher... Nous sommes juste là pour tester les shinobis... et vous nous envoyé des enfants, êtes-vous vraiment si lâches ?
- Pourtant d'après ce que je sais l'un d'eux est appelé à devenir l'un des 7 épéistes du brouillard.
- Là, le défi commence à devenir intéressant. Mais la plupart de ces enfants ne savent pas manier une arme véritable... Nous allons faire un test.
Elle fait un signe et trois samouraïs se précipitent sur les genins.
- Shigure, Midare, occupez-vous-en ! Crie Jet.
- Ok !
Aussitôt le duo d'Ame utilise ses ombrelles pour lancer des aiguilles, deux des attaquants tombent à terre, mais le troisième protégé par son armure continue sa course, le binôme se précipite à son tour et se baisse pour éviter un coup de sabre horizontal destiné à leur trancher la tête, ils empoignent leurs ombrelles repliées et donnent leurs coups aux jambes du guerrier qui quittent le sol, le bushi emporté par son élan se retrouvent quelques secondes en l'air avant de retomber lourdement, les deux équipiers posent chacun un pied sur son dos et celui-ci est maîtrisé.
- Toujours convaincue qu'ils sont trop jeunes pour se battre ?
- Je dois avouer qu'ils savent se débrouiller et ton fils semble avoir l'âme d'un meneur.
- Tes hommes sont suffisamment nombreux pour combattre à trois contre deux, mais doit on continuer le massacre ?
- Ah ! Tu n'as pas changé, tu es trop confiant, ils ne sont pas morts. Bien... continuons.
Elle fait un autre signe et deux autres samouraï se précipitent.
- Chojurou ? Demande Jet.
- On s'en charge.
Fû et Chojurou se place en face des assaillants et préparent la technique que l'épéiste a utilisé la veille, les yeux de la Jinchuuriki virent au rouge et ses pupilles se fendent, elle pose une main sur l'épaule de son équipier et son chakra se concentre dans l'arme du sabreur, il libère sa technique horizontalement et ce coup-ci l'onde est rouge. L'un des guerriers, en kimono, se jette à terre et roule sur lui même en passant sous l'onde, alors que son équipier en armure fait un saut de côté, mais l'onde le touche à la cuisse droite en déchirant sa cuirasse, manquant de le rendre unijambiste, il trébuche et reste au sol tandis que le second se relève et affronte Chojurou dans un duel qui dure quelques minutes, mais ce termine par la victoire du shinobi essoufflé, tenant en respect son adversaire qui lui, est au sol.
- Tes hommes ne sont pas à la hauteur de leur réputation.
- C'était seulement le menu fretin, ils voulaient faire leurs preuves.
- Et bien c'est raté.
- Calme ta joie petit, la suite vous réserve quelques surprises.
- Un colosse en armure s'avance, encadrer par deux samouraïs en kimono.
- Des volontaires ? Demande Jet.
- Laisse-nous faire. Répond Karui.
- On s'en occupe. Poursuit Neji.
- Très bien allez-y.
Karui se rue sur les guerriers, ceux en kimono sortent leur sabres et portent un coup horizontal, les deux lames se retrouvent parallèles et sont bloquées par celle de la kunoichi, qui se retrouve projetée en arrière et sonnée par un coup de poing du colosse dans le torse en passant entre les armes de ses compagnons. Neji s'en mêle et engage le combat avec les deux autres, l'affrontement dure un bon moment et ne mène nulle part. Le premier soulève Karui d'une main et place son arme sous la gorge de la rousse avec l'autre.
- C'est bon arrêtez, ça ne sert à rien. Dit Tomoe à ses hommes.
- À vos ordres.
- Neji, ça va ?
- ... Ouais... ça va... Dit ce dernier en haletant.
- Karui ?
- Tu t'es déjà pris un coup de sabot ? Bah là c'était pareil, en plus il était ferré.
- Super... bon 2 à 1, quelqu'un pour rattraper le tir ? Demande Jet.
- Ouais on a assez rigolé, Doki, on s'en charge. Annonce Kankurô.
- J'ai comme un mauvais pressentiment...
Un samouraï en kimono s'avance suivi de près par deux autres (formation en V). Kankurô envoie Karasu au devant du meneur afin de l'occuper. Puis il envoie Kuroari à la rencontre de son ailier droit, qui s'ouvre devant lui et dévoile Doki qui saute sur le guerrier, le pantin continue son chemin et piège l'ailier gauche dans son ventre. Alors que les shinobis semblent avoir l'avantage, un quatrième bushi qui s'était avancé en retrait se faufile et donne un coup oblique ascendant avec son katana au marionnettiste qui est blessé au torse et tombe en arrière, lâchant ainsi le contrôle de ses pantins. Kuroari est d'ailleurs éventré par l'arme de son prisonnier qui est maintenant libre. Doki est alors tenu en respect par trois lames acérées, son équipier ne peut lui venir en aide puisque le quatrième samouraï cache les yeux de celui-ci tout en le menaçant de son sabre.
- Je savais que ça finirait mal...
- Égalité, bien maintenant...
Tomoe n'a pas le temps de finir sa phrase que l'un des murs de l'arène explose, une fois que la poussière à commencer à se dissiper on peut voir une silhouette féminine s'avancer par le trou béant créé non pas par une explosion, mais par un coup de pied de la nouvelle arrivante.
- Qu'est-ce que vous faites là vous ? Demande Tomoe.
Les 47 ronins et Tomoe Gozen sont des personnages historiques ayant vécus dans le Japon médiéval. Tomoe Gozen est aussi connue au Japon que Jeanne d'Arc chez nous. J'ai choisi de les liés pour ma fiction alors qu'il y a 6 siècles de différences entre leurs histoire.
Les 47 ronins (1701-1703)
Samouraïs ayant refuser de suivre leurs maître dans la mort, après que celui soit condamner au suicide par Seppuku. Ils n'ont vraiment fait parler d'eux qu'au début et aussi à la fin de leur "carrière" lorsque ils ont attaqués le château du seigneur qui avait fait condamné leur maître et l'ont finalement rejoint dans l'autre monde.
Tomoe Gozen (1157/1161-1247. date de naissance incertaine, mais elle aurait donc quand même vécue pendant près d'un siècle!)
L'une des seules femmes qui se soit fait un nom parmis les bushis. Amante de Minamoto no Yoshinaka, elle accompagna son époux sur tous les champs de bataille et combattit à ses côtés. Dotée d'une force physique et d'un courage peu commun, elle gagna l'admiration des bushis, alliés comme ennemis.
Son époux, Minamoto no Yoshinaka, frère de Yoritomo et de Yoshitune était un général exceptionnel. Ses succès militaires provoquèrent la jalousie de ses frères qui l'attaquèrent et le tuèrent. Tomoe Gozen abandonna alors les armes pour se retirer comme religieuse bouddhiste. Mais sa légende était née.
Je précise d'ailleurs que dans ma fic les samouraïs ont de véritables armures médiévales japonaise et pas les costumes de Dark Vador en boîtes de conserves que nous à pondu Kishimoto.
Un ronin est un samouraï sans maître, tandis que les bushsi sont très différents des samouraïs (époque, fonction) et ne sont pas à l'origine du Bushido qui est le code d'honneur des samouraïs. Les bushis étaient principalements des archers en armure et les plus riches devenaient généralement Daimyo et avaient par conséquent des samouraï à leurs services. (je ne vais tout vous expliquer en détails c'est très compliquer comme système)
Les armures japonaises étaient beaucoup plus légère que leurs cousines occidentales (une dizaine de kilos), elles étaient également souple et modulables suivant les préférences du propriétaire et pouvaient également êtres enfilées sans l'aide de serviteurs.
Traductions
Hareyaka = lumineux/ensoleillé
"Mitsu" vient de "Hachimitsu" qui veux dire miel (personnage créer par Ombre Cynique)
J'aimerais part ailleurs rétablir une erreur de ma part. J'ai donner "Tsueki" comme traduction de "sang", alors qu'en fait il se dit "Ketsueki" une différence subtile mais que je tenais à souligner au cas où.