Une semaine à la mer


Fanfiction Naruto écrite par Rahjenaimar (Recueil de Rahjenaimar)
Publiée le 13/05/2010 sur The Way Of Naruto



Il est temps de mettre un point final à cette semaine.
Semaine qui s'est éternisée, malgré moi... D'ailleurs excusez-moi pour ces retards terribles. Mais c'est fou ce que l'inspiration peut manquer parfois !
Voilà un chapitre très, très guimauve, pour le plaisir des lecteurs !

Le titre du chapitre est bien entendu le titre du quatrième Shrek qui est enfin sorti ! =D
Bien ! Dernier chapitre !



Chapitre 7: Il était une fin



3H00

Neji interrompit enfin sa marche et se retourna vers Shikamaru.

« Ici ce sera très bien.
- Pourquoi nous avoir emmené si loin ? dit le Nara en baillant.
- Ma cousine sait lire sur les lèvres, et avec son Byakugan elle pourrait très bien nous voir. Il fallait donc s'éloigner.
- Ce n'est pas le genre d'Hinata d'espionner.
- Oui, mais ce serait plutôt une habitude de ton équipière blonde... Si tu vois ce que je veux dire. »

Le flemmard voyait en effet très bien ce qu'il voulait dire. Il porta son regard au loin sur la limite de l'océan et dit sans regarder le Hyuuga :

« Temari m'a dit pour vous deux.
- Je m'en doutais.»

Les yeux blancs comme la lune qui les éclairait du garçon fuirent ceux de l'autre. Il fit mine de trouver très intéressant un galet à ses pieds et dit :

« Écoute... Je ne v...»

Mais les jointures de son interlocuteur vinrent s'écraser contre sa mâchoire, l'empêchant de continuer. Il vola sur deux mètres et termina sa course la bouche ensanglantée sur le sable humidifié par la marée montante. Le Nara se précipita et se plaça à califourchon sur lui. Il le saisit par le col et ramena son visage à hauteur du sien.

« T'as bien profité d'elle, enfoiré, hein ?! C'était super, elle avait peur et froid, c'était une occasion en or, pas vrai ? RÉPONDS, ORDURE !
- Non, ce n'est pas ce que tu crois...»

Mais un deuxième coup de poing s'écrasa contre ses dents. Un craquement sinistre se fit entendre et Neji cracha du sang. Une dent s'enfuit de sa bouche tandis que son visage prenait une couleur violette. Sa joue gauche tuméfiée était en sang par endroit.

« Non, s'il te plait, écoute-moi... Ça ne servira à rien de se battre...
- Ça ne servira à rien mais moi ça me fait beaucoup de bien !»

Et il banda les muscles de son bras pour cogner à nouveau. Son coup fut paré par Neji qui profita de ce court instant pour se dégager et s'éloigner du jeune homme fulminant.

« Alors quoi ? lui lança-t-il. Tu crois que c'est en me tabassant que tu vas la retrouver ? De toute façon je l'aime pas, ta Temari, et c'est toi qu'elle aime ! Alors tu crois que c'est comme ça que tu vas régler le problème ? En te conduisant comme un gamin ?
- La ferme ! Tu sais pas ce qu'elle ressent ! T'en sais rien et t'as abusé d'elle !
- Non, justement, c'est ce qu'elle t'a fait croire.»

Shikamaru marqua un temps. Quoi ? Temari lui aurait menti ? Il relâcha ses bras et essaya de se calmer pour écouter attentivement le Hyuuga.

« Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Temari... Elle s'en voulait d'avoir cédé à mes avances, alors elle a fait comme si on avait... Enfin tu vois. Mais en fait ce n'est pas ce qui s'est passé.
- Continue.
- Effectivement j'ai essayé de profiter d'elle. Et pour ça je sais à quel point je suis une belle ordure. Mais quand j'ai voulu... commencer, elle a versé une larme en prononçant ton nom.»

Il prit une longue bouffée d'air et acheva son récit :

« Je me suis immédiatement immobilisé et au lieu d'abuser d'elle je l'ai réchauffée. Nous étions nus, certes, mais nous n'avons rien fait de plus. Mais pour elle c'était comme si elle t'avait trompé. J'en suis désolé.»

Un coup de vent passa quand il termina sa phrase. Shikamaru paraissait réfléchir, mais tout en ayant une indigestion, parce que son expression était douloureuse.

« Et... Et qu'est-ce qui me garantit que tu dis la vérité ? Cette petite histoire t'arrangerait bien, n'est-ce pas ?
- Shikamaru, déclara gravement Neji. J'ai passé mon enfance dans le mensonge et le doute. Je ne me permettrais pas de causer la même douleur à quelqu'un.»

Le flemmard soupira. Cette déclaration le soulageait énormément. Et il savait que Neji ne mentirait pas sur une chose aussi importante. Il tendit la main à son ami que celui-ci serra. Quand il passa dans la lumière de la lune, le Nara grimaça : Neji n'était plus très beau à voir... Il lui donna un mouchoir pour au moins essuyer le sang coagulé et proposa de réveiller Sakura. Mais le Hyuuga refusa en bloc : il estimait qu'il avait mérité cette punition.

« Ah, Neji, j'ai une autre question.
- Hum ?
- Quelque part dans le chapitre cinq, il est écrit « Ils ne s'étaient pas ennuyés ces dernières heures...» Si vous n'avez rien fait, alors pourquoi... ?
- Oh, ça ? C'est juste que j'avais un paquet de cartes sur moi et on a fait des batailles pendant on long moment jusqu'à ce qu'on retombe de fatigue...
- Ah. »

10H00

Un cri aigu réveilla Kankurô. Il se mit à maudire toutes les filles de la planète et se redressa tant bien que mal en se grattant peu élégamment le derrière. Il jeta un coup d'œil autour de lui et remarqua qu'ils n'étaient plus que trois autour des résidus de charbon qui formaient le reste du feu de la veille : Kiba, Naruto et lui.
Il se frotta les yeux et chercha un endroit où pisser tranquillement avant d'aller voir ce qu'il se passait. Mais il n'en eu pas le loisir car une énorme boule de vase s'écrasa sur son visage dans un beau...

… SPLAOUTCH !!!

« BATAILLE DE VASE ! beugla Lee en passant devant lui, la main pleine d'une matière marron-vert assez malodorante. »

Du coin de l'œil il aperçut Naruto qui se tordait de rire en voyant sa mine ahurie. Son regard dériva vers la personne sensée être endormie à côté de lui. Il y avait bien un Naruto blond mâchonnant un galet en le prenant pour son oreiller.

« Attends voir... murmura le sunnien.»

Et il enfonça sans ménagement la pointe d'un kunai dans l'estomac du blond. Il disparut dans un nuage de fumée.

« Hé, mais t'es malade ! protesta l'Uzumaki, le vrai cette fois. Imagine que c'était bien moi et pas un clone ?
- Et bien ça aurait fait un abruti de moins sur cette terre !»

Un petit rire discret parvint à ses oreilles, un petit rire qu'il appréciait pour sa tonalité. En fait on aurait plus dit une toux chevrotante, mais Kankurô avait appris à reconnaître le rire d'Hinata. Il se retourna et vit la jeune fille lui sourire timidement. Calmé par ce petit bout de femme hésitant, le jeune homme s'étira et lui adressa un sourire gentil. Il sentit aussitôt l'animosité de trois personnes fondre sur lui. Celles de Neji, Naruto et Gaara.
Il se promit d'être plus prudent à l'avenir et de ne sourire à la Hyûga qu'en sa seule présence.

Quoique le fait de cette réaction immédiate le laissait perplexe. Neji, c'était légitime, il était son cousin. Gaara... il se doutait bien que son cadet avait un faible pour la petite brune. Mais... Naruto, eh bien... il était pourtant sûr que ce baka était amoureux de la folle chewing-gum.

PAF !

« QUI EST UNE FOLLE CHEWING-GUM ???
- Argh... Sakura, t'étais pas sensée m'entendre, c'était un monologue du fond de mes pensées...
- RIEN A FOUTTRE, LA CHEWING-GUM VA TE MONTRER A QUEL POINT ELLE EST FOLLE !»

Le no Sabaku leva les bras à hauteur de son visage et serra les cuisses pour protéger ses pauvres bijoux de famille. Il s'attendait à un vol plané, un coup de coude dans l'estomac ou même une indigestion de sable, mais il ne ressentit rien du tout. Par contre il reçut quelque chose de beaucoup plus doux...
… car Sakura l'embrassa doucement.
Elle se retira et leva les yeux vers lui. Il ne put qu'articuler :

« T'es vraiment une malade, toi... »

Ils s'aperçurent alors que tout le monde les regardait. Un claquement de main survint. En tournant la tête, ils virent Jiraiya qui revenait de sa promenade matinale en tapant dans ses mains avec des étoiles dans les yeux.
Puis, petit à petit, tout le monde autour claqua ses paumes entre elles et se mirent à siffler les deux jeunes tourtereaux. Naruto semblait avoir pris une baffe en plein tête et Temari remerciait le ciel que son petit frère ne soit pas gay. Pas qu'elle soit homophobe, ça non, mais les relations homosexuelles n'étaient pas très bien vues à Suna et on commençait à pointer Kankurô du doigt dans son dos parce qu'il n'avait toujours pas de petite amie, et les gens se mettaient à douter sur ses... orientations. Alors Temari avait eu peur pour la tranquillité de son cadet. C'est une gentille grande sœur, non ?

Lee, enhardi par cette heureuse nouvelle, se tourna vers Neji et annonça tellement fort que les mouettes s'envolèrent trente mètres plus loin :

« Neji ! Mon rival et vieux frère de toujours ! Je suis tombé amoureux de Tenten ! Mais tu l'aimes et elle t'aime alors RESTEZ ENSEMBLE ! »

Et pour appuyer ses paroles, il saisit le bras de Tenten et le kimono de Neji et les propulsa l'un contre l'autre. La seconde d'après il s'enfuyait en pleurant des larmes de joie et de tristesse.

*****

Pas loin de là, masquant leur présence avec efficacité, les sensei gloussaient doucement sur ces amourettes.

« Ils ne sont pas trop mignons ? murmura Anko.
- Ah, ah ! Gaï doit être aux anges.
- Tiens, d'ailleurs, il est où, Gaï ? »

Kakashi se retourna et vit que leur compagnon aux gros sourcils s'était évaporé.

« Non, ne me dis pas que... dit la jeune femme sur un ton alarmé.
- Si, malheureusement. »

Et jetant un coup d'œil par dessus la roche derrière laquelle ils se cachaient, ils virent l'incorrigible Gaï Maïto se précipiter sur ses deux élèves rouges de honte.

« Bon et bien, c'est fichu pour la discrétion jusqu'à la fin du séjour ici... »

Le ninja copieur s'apprêta à suivre la panthère de jade quand Anko le retint. Il se retourna, surpris, et regarda son équipière d'une semaine qui fixait le bout de ses chaussures. Avec son visage rougissant et ses balbutiements imperceptibles, elle ressemblait à une adolescente ne sachant pas quoi dire au garçon qu'elle aime.

« Kakashi, quand tu... quand on... sera rentrés au village, ce sera fini, nous deux ? »

Elle avait fini sa phrase dans un murmure. Kakashi ne savait pas vraiment quoi répondre. C'est vrai qu'il l'aimait, cette ninja sadique examinatrice de l'examen chuunin mais il ne voulait pas perdre son indépendance, et souvent Asuma l'avait accusé de fuyard et de lâche. Sans trop savoir ce qu'il fallait dire, il prit Anko dans ses bras et ouvrit le bouche derrière son masque :

« Nous avons déjà examiné la question. C'est trop tôt pour l'instant, notre devoir de ninja passe avant tout, et si tu te retrouves enceinte, tu ne pourras plus rester une guerrière. Il te faudra tout quitter, et je sais que ça te consumerai de l'intérieur puisqu'il te faut atteindre ton but : éliminer Orochimaru. Et cela tu ne pourras pas le faire sans ta qualité de kunoichi. Je ne pense pas que tu veilles ça.
- Tu ne comprends pas... Je me suis déjà préparée à tout ça, et j'y ai renoncé...
- Qu... ?
- Parce que ça va bientôt arriver. »

Kakashi s'étrangla et devint tout pâle. Il balbutia :

« Tu veux dire que...
- Oui, je suis enceinte... de toi.»

Et Kakashi tomba dans les pommes.

13H00

Les ninjas avaient cessé la bataille de vase et étaient allés se laver dans la mer avant de s'occuper de Kakashi, pendant que Tenten réconfortait Anko qui pensait que c'était à cause d'elle que Kakashi était inconscient. Neji restait en retrait. Il sondait les environs à l'aide de son Byakugan pour retrouver Lee, guidant Gaï par radio-émetteur.

« Il est pas très solide, le sense, hein ? Ça fait trois heures qu'il est dans les vapes.
- Oh, la ferme Naruto ! le tança Sakura. Qu'est-ce que tu dirais si après avoir couché ensemble je tombais enceinte ?
- Je serais le plus heureux des ninjas !
- Désolé, vieux, mais elle est à moi ! fit Kankurô avec un sourire faussement compatissant. Mais je pourrais te la prêter si tu y tiens...
- Kankurô ! protesta Temari. Une femme n'est pas un objet !
- Tout à fait ! appuya Ino.
- Et revoilà les féministes ! dit Shikamaru tout en mâchonnant en brin d'herbe, allongé dans le sable à côté de Chôji qui, pour une fois, ne mangeait rien.
- Et vous vous êtes des machos ! »

Le jeune Nara souffla un truc entre ses dents, sans doute un de ses « femmes galères » et il ferma les yeux. Ino leva les siens au ciel et Temari regardant d'un air bienveillant son petit frère assis à côté de Hinata. Ils ne se parlaient pas, ne se regardaient même pas, mais ils se comprenaient. Ces deux-là s'étaient bien trouvés, du moins à l'avis de Temari, car ils avaient du mal à dire ce qu'ils pensaient, mais d'un autre côté on pouvait les comprendre sans qu'ils en aient besoin.
Saï capta le regard jaloux de Naruto et esquissa un sourire. Pourtant, au fond de lui, quelque chose se consumait et ça lui faisait mal. Un sentiment. Mais Saï a toujours été nul en décryptage de sentiments.

« Ah, au fait Ino, approche-toi ! appela la « folle chewing-gum ».
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Viens plus près. »

Intriguée, la Yamanaka approcha son oreille à hauteur de la bouche de son amie et écouta son murmure. Elle se redressa, rouge tomate, et jeta un coup d'œil en direction de Shino. Celui-ci était insondable derrière ses lunettes et son col.

« Tu es sûre de ce que tu dis ? chuchota la blonde.
- Oui, il me l'a dit lui-même... T'as qu'à vérifier, si tu veux !
- Bon, ok, je vais le voir, alors. »

Shino vit Ino s'approcher et instinctivement recula du même nombre de pas. Pour lui, Ino = fille = cris & pleurs = embêtements. La seule fille avec laquelle il parlait sans trop de mal était Hinata, et à la rigueur la sœur de Kiba. Tiens, d'ailleurs il était où, celui-là ?

*****

De son côté, Kiba revenait d'une envie pressante et refermait sa braguette. Il faisait trop chaud pour porter sa veste mais il la gardait quand même à sa taille car l'odeur lui rappelait celle de son chien, son petit chien, Akamaru...
Soudain il entendit la voix grave de Shino, qu'il reconnaissait entre milles, s'élever de l'autre côté d'une grosse pierre :

« Ino, dis-moi ce que tu veux et laisse-moi.
- Maieeeuh ! T'es pas gentil !
- …
- Bon voilà, en fait je veux parler de sentiments... »

Kiba sentit son pied glisser sur un galet et il tomba sur le côté. Il se cogna la tête contre une pierre et se mit à saigner. Il mit quelques minutes à reprendre ses esprits et n'entendit que les derniers mots :

« … t'aime.
- Ouiiii ! Je le savais ! »

Puis vint le bruit des lèvres mouillées qui se collent à un autre épiderme. Deux fois. Kiba sentit son sang bouillonner et il se redressa avec quelques vertiges. Il contourna le rocher et vit Ino déserrer ses bras de la nuque de l'Aburame, qui d'ailleurs était légèrement dépassé par les événements.

« TOI ! rugit le maître-chien en se retenant à la roche, hors de lui. JE TE L'AI DIT ! TU LE SAIS ET... ET... TU LAISSES ça ARRIVER !
- Mais... De quoi tu parles ? demanda la blonde d'une toute petite voix.
- … fut l'argumentation de Shino. »

Mais son silence fut accompagné d'un geste. Sa main qui montait à ses joues pour montrer les traces de rouge à lèvres eut l'effet d'un coup de vent qui balaye tout dans l'esprit d'un homme.

« Mais... Mais qu... ? balbutia Kiba.
- Quoi ? Tu croyais qu'on était ensemble ? fit Ino. Et bien non, ce n'est pas vers lui que mon cœur balance... mais plutôt vers... »

Shino s'éloigna des deux ninjas. Si Ino était venue lui demander elle-même si Kiba l'aimait ce n'était pas pour rien, et cet idiot avait du entendre à moitié et tout mélanger... Avec la satisfaction d'un travail rondement mené, l'Aburame se hâta de rejoindre le reste du groupe pour veiller sur Hinata. Gaara était un garçon bien, qui plus est le cinquième Kazekage, mais il était porteur du démon des sables et il voulait quand même l'avoir dans son champ de vision. Juste au cas où.

16H30

Alors que tout le monde discutait, s'embrassait, parlait et riait, que Kakashi et Anko avaient eu une longue discussion sur leur avenir et avaient décidé de se marier, Neji les rejoignit, épuisé, les yeux rouges d'avoir tant utilisé sa pupille.

« Ah, Neji ! Vous avez retrouvé Gros Sourcils ? demanda Naruto. »

Devant l'air grave du Hyuuga, Hinata s'inquiéta et demanda :

« Il... il s-s'est passé qu... quelque chose ? »

Il acquiesça. Il dit juste :

« Il faut toujours qu'il se fourre dans des situations pas possibles... »

Et il s'endormit sur les genoux de Tenten, comme une masse.
Kakashi s'empara de la radio-émetteur et la plaça contre sa propre oreille.

« Gaï ? Gaï, où es-tu ? Est-ce que Lee va bien ?
- Crrrrr... répondit l'appareil.
- Gaï ! Gaï, réponds, bon sang ! »

La machine resta muette puis ils entendirent une voix, brouillée, comme si elle était transmise à travers la brume :

« Trop loin... Crrr... Hors de portée... Crrr... Blessé... Crrr... Plus de batterie... Crrr... Crrrrr... Vide... Demande aide... Crrrr... Crr... Crrrrrrr... »

Puis plus rien.

« Gaï ! Qui est blessé ? Où est-ce que vous êtes ? On vient vous chercher ! Gaï !
- Laissez tomber, sense, partons à sa recherche.
- … Très bien. Réveillez Neji, il est le seul à savoir où ils sont.
- Impossible, fit Tenten. Les yeux de Neji ont trop vu, aujourd'hui, il ne pourra pas les rouvrir avant demain sous peine de se brûler la pupille. Il a déjà du perdre un peu vu l'état de ses yeux.
- Bon alors on fait comment ?
- Suivre la piste... Comme de bons ninjas. »

Ils se regardèrent et hochèrent la tête. Début de l'opération Sauvetage de Lee et Gaï !


Hahahaaaaaaaa !
Non en fait je ris parce que je suis à bout de nerfs.
Moi qui croyais que j'avais enfin fini avec cette fiction, voilà que j'arrive pas à caser le dernier chapitre en un seul. Y a de quoi mourir de rire, non ?

Bon, ben, on se retrouve au prochain et VRAIMENT DERNIER chapitre, qui devrait arriver rapidement.
Bye !