Ceci est ma première fiction, alors soyez indulgents.
saison 1 :
Les personnages sont les miens, mais se révèleront pour certains être la "réincarnation" des héros de Masashi Kishimoto dans le monde réel !
Ensuite, (saison 2), le héros de la saison 1 se rendra dans le monde de Naruto et cette fois-ci les personnages de Naruto seront au rendez-vous.
Ne soyez pas trop décontenancés pas les deux chapitres (peu d'action et pas mal de parlotte dans le chap 2), ce sont en quelque sorte une introduction à toute l'histoire...
J'espère que ça vous plaira, et je souhaite bonne lecture à toutes et à tous !
Les deux hommes se regardèrent dans les yeux quelques instants.
Miyamoto avait fait bonne impression à Karasu, mais lors de cet échange oculaire, ce dernier fut soudain pris d'un mauvais pressentiment. Bizarre.
D'un seul coup, Miyamoto détourna le regard et se leva, suivi par Karasu, et se plaça alors debout face au jeune garçon.
- Karasu, place ta main droite sur mon épaule gauche s’il te plaît.
Sceptique, Karasu s’exécuta néanmoins. Etait-ce un rituel japonais ? Il se désolait de ne rien connaître des coutumes de son pays natal.
Miyamoto fit alors quelques signes, et les deux hommes disparurent dans un nuage de brume.
Quelques secondes plus tard, ils apparaissaient sur la plage d’un des petits îlots de la baie de Tokyo. L’îlot était relativement petit, et rien n’apparaissait à sa surface, hormis la plage de sable qui encerclait une colline, sur laquelle trois malheureux palmiers se battaient en duel.
C’est un Karasu blanc comme neige qui posa une première question à son nouveau mentor.
- C’était quoi ce truc ? Un jutsu de téléportation ?
- Plus ou moins, répondit mystérieusement Miyamoto.
Si les souvenirs de Karasu étaient bons, il lui semblait que seul Le Yondaime Hokage disposait d’un jutsu de déplacement instantané. Après un coup d’œil sur sa montre, il constata que la téléportation n’était pas si instantanée que ça, puisque le voyage avait duré une minute.
Après un rapide calcul de la vitesse (la distance divisée par la durée), Karasu en déduit que le jutsu était moins efficace que celui du Yondaime. Ce jutsu lui rappelait plutôt celui utilisé par Orochimaru pour fuir l’équipe 7 Yamato.
« ça doit être ça » dit Karasu pour lui-même.
- Et qu’est-ce qu’on est venu faire sur cette île ? Y’a rien à voir… reprit plus fort Karasu.
Miyamoto ne répondit pas mais lui fit signe de le suivre, alors que lui-même commençait déjà à gravir la colline.
Alors qu’ils se rapprochaient du sommet, Miyamoto s’arrêta soudainement. Puis il joignit ses mains en criant :
- Kaï !
Soudain, la forme imposante du temple surgit du néant, à la grande stupéfaction de Karasu.
- Genjutsu, hein…
- Exactement.
Le temple en question se trouvait en réalité être un grand château fort du style médiéval.
- Vous aviez parlé d’un temple… Je m’imaginais un truc moins imposant.
- C’était pour te faire la surprise ! Hahaha !
-…
Sans attendre, Miyamoto s’avança, gravit les marches en pierre, et poussa la colossale porte en bois, Karasu sur ses talons.
Ils pénétrèrent dans un hall spacieux, accueillis par un profond silence. Ce dernier ne dura néanmoins que peu de temps, puisque quelques secondes plus tard, une silhouette sortit de l’ombre et entonna :
- Bienvenue, Miyamoto-Sama.
- Bonjour, Arashi. Tout s’est bien passé ?
- Oui, aucun problème à signaler. Ah oui ! Kenshin a enfin maîtrisé le Katon Goukakyuu no Jutsu ! Je me demandais quand ce raté y arriverait… Mais que voulez-vous, c’est la vie, certains sont plus doués que d’autres.
Karasu vit le sourire condescendant d’Arashi, et serra les poings. C’était donc la vraie nature de cet homme ?
- N’es-tu pas d’accord, jeune homme ? continua Arashi.
Karasu réfléchit quelques instants. Une réponse négative lui attirerait certainement des ennuis. Une réponse positive serait un mensonge, et il détestait ça. Finalement, il se décida pour un haussement d’épaules.
Miyamoto s’éclaircit la voix puis prit la parole :
- Arachi, voici Karasu, un nouveau membre de notre confrérie. Karasu, voici Arachi.
- Hn, répondit Karasu.
Arashi fixa Karasu quelques instants, puis se tourna derechef vers Miyamoto.
- Au fait, continua le Capitaine, il me semble que j’ai omis de te dire le nom de ta future famille. Nous sommes les Fils du Vent.
-… Ok. Et cette cape… dit Karasu en montrant la tenue d’Arachi.
- C’est notre uniforme : la cape de Namikaze Minato, le Yondaime Hokage, déclara Miyamoto en montrant la cape blanche bordée de flammes rouges. La cape était d’une blancheur immaculée et brillait comme un phare malgré la pénombre du hall.
- Super comme camouflage, lança Karasu, sarcastique.
- Les Fils du Vent n’ont pas besoin de se cacher, lâcha sèchement Arashi.
- Hn, répondit Karasu.
- Comment ça « Hn » ? dit Arachi.
-…
- Un vrai Uchiha, ricana Miyamoto. Quels grands bavards nous sommes !
- Tu oublies Shisui, dit sombrement Arachi.
Miyamoto, un sourire sur les lèvres, marmonna :
- Quand on parle du loup…
- Yo ! Salut les gens !
-…
-…
-…
Plus jeune qu’Arashi, Shisui était un peu plus vieux que Karasu, et devait avoir 18 ans.
Il était de taille moyenne, et portait une tenue noire, ainsi que la cape de la confrérie, qui, contrairement à celle d’Arashi, ne brillait pas. Il possédait des yeux rieurs et plut d’emblée à Karasu. Arashi lui était plus antipathique.
- Salut Arashi, ça baigne ? Je vois que tu portes ta cape… Il te manque plus que la sono et ce sera parfait pour les missions d’infiltration, entonna Shisui.
- La ferme ! Tu as la même je te signale.
- Ouais mais moi je l’ai enchantée avec un genjutsu pour qu’elle brille plus mon vieux. Pourquoi tu le fais pas déjà ?
- Je…
- Ah oui ! J’me souviens ! Parce que t’as pas envie de faire un truc auquel j’aurais pensé avant toi ! Ou à moins que ce ne soit parce que « les Fils du Vent n’ont pas besoin de se cacher » ?
- Tu…
- Et puis, reprit Shisui, « les Fils du Vent n’ont pas besoin de se cacher », franchement, ça dépend. Par exemple, si tu cachais ton visage, ce serait pas plus mal. Ça m’éviterait la crise cardiaque à chaque fois que je vois ta sale gueule !!
Karasu rit, à son grand étonnement. Cela faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé !
Arashi, lui, riait moins :
- Enfoiré ! rugit-il, la main posée sur la garde de son katana. Je vais te…
- Paix, vous deux ! intervient Miyamoto. Conduisez-nous plutôt au Général.
- Pourquoi ? Vous connaissez-pas le chemin ? Ou peut-être avez-vous peur des quelques acariens qui peuplent le couloir ? ricana le dernier arrivant.
- Shisui…
- Ok, j’arrête, chef ! dit ce dernier en souriant.
Karasu lui demanda alors :
- Shisui, ce serait pas le nom du meilleur ami d’Itachi dans le manga ?
- Ouais, c’est ça, répondit le concerné. Je suis sa réincarnation ! Tadam !
- Mais, je croyais qu’il ne fallait pas révéler notre nom de réincarnation ? demanda Karasu.
Cette fois, ce fut le Capitaine Miyamoto qui répondit :
- Chacun fait comme il le veut. Mais le garder caché est un avantage car cela permet de garder le secret sur nos capacités jusqu’au dernier moment.
- Pff… se moqua Shisui. De toute façon, on est tous des Uchiha, et on tape tous au Katon…
Je vous dis pas l’effet de surprise ! Moi ça me gêne pas que tout le monde le sache : ça les fera d’autant plus chier dans leur froc !
« C’est un Uchiha, ça ? » pensa Karasu en souriant. Il parle comme Naruto !
Personne ne releva la dernière remarque de Shisui, et les trois shinobis suivis du néophyte montèrent les marches du grand escalier qui faisait face à la porte d’entrée. Ils gravirent les marches, puis entreprirent de traverser un long couloir assez sombre éclairé par des bougies. Au vu de la paroi de pierre, et en se remémorant la façade du château, Karasu prit la parole.
- Ce château, il ne fait pas très japonais… Les quelques châteaux de ce type ne se trouvent que dans des villes comme Kyoto, et sont plus anciens que celui-ci, non ?
- C’est exact, répondit Miyamoto. Ce château a été bâti par les Hollandais, il y a un peu plus de 200 ans. La construction a été achevée peu de temps avant le bombardement des côtes japonaises par l’Amiral Perry, ce qui explique les quelques dommages structuraux…
Cette concession a été ensuite rachetée par les ancêtres du Général Yashimoto. Voilà.
Le petit groupe continua à marcher, jusqu’à ce qu’il parvienne au fond du couloir, et fasse face à une petite porte en bois de cerisier. Miyamoto toqua à la porte.
- Entrez ! lança une voix grave de l’intérieur de la pièce.
Les quatre hommes pénétrèrent dans le bureau, Miyamoto prenant la parole :
- Bonjour Yashimoto-sama. Je vous amène un nouvel élément : Karasu.
- Bienvenue à toi Karasu. Assieds-toi s’il te plaît, dit-il en désignant une chaise en face du bureau.
Puis le Général leva les yeux vers les trois shinobis.
- Vous pouvez disposer.
Les trois ninjas s’inclinèrent, puis quittèrent la pièce. Le Général leva ensuite la tête vers Karasu, un petit sourire sur les lèvres. Yashimoto mesurait environ un mètre quatre-vingt dix.
Son menton était garni d’une courte barbe blanche, et ses yeux noirs brillaient de malice. Malgré de nombreux rides, il se dégageait de cet homme une impression de vigueur et de jeunesse. Le vieillard prit alors la parole :
- Je suppose que le Capitaine Miyamoto t’a mis au courant d’à peu près tout ?
- Hn.
- Et tu as des questions ?
- Oui, répondit Karasu. Je voudrais savoir pourquoi nous sommes si peu nombreux.
Le Général sembla réfléchir quelques instants, avant de prendre la parole :
- Et bien… pour deux raisons en fait. La première, c’est que les pouvoirs des shinobis n’ont été réveillés que depuis un an.
- Un an ? Mais…
- Masashi Kishimoto a découvert la grotte il y a une dizaine d’années, mais la prophétie ne s’est enclenchée que depuis un an. En gros cela ne fait qu’un an que les « réincarnations », que nous appelons tout simplement Shinobis, ont commencé à recevoir leurs pouvoirs. De plus, ils ne le reçoivent pas tous au même moment. Par exemple, j’ai reçu mon pouvoir il y a dix mois et toi il y a deux jours. La deuxième raison est que nous n’avons que très peu de moyens de dénicher les Shinobis à travers le monde. Jiraya-sama nous avait laissé un objet permettant de détecter les chakras à grande distance, mais il a mystérieusement disparu il y a plusieurs mois… Nous espérons donc qu’en lisant Naruto, ces Shinobis y reconnaîtront leurs pouvoirs.
- Ok. Et pourquoi n’y a-t-il que des Uchiha parmi les Shinobis ? Ce n’est pas normal…
- Ah ça… C’est un grand mystère. Il est vrai que la prophétie semblait dire le contraire. Peut-être qu’il s’éveilleront plus tard, mais pour l’instant personne sans le sharingan n’est passée à la télévision après avoir fait un bond de cinq mètres de haut.
- Vous voulez dire que les Medias sont au courant ?
- Qu’est-ce que tu crois ! On parle partout de toi sur les chaînes françaises !
-…
- Bon j’imagine que tu dois avoir faim ? Suis-moi.
Le Général et Karasu revinrent au pied de l’escalier du hall, puis prirent un couloir à leur gauche, qui les menèrent à la salle à manger.
Celle-ci était très spacieuse, et éclairée par de grands lustres et de nombreux Fils du Vent étaient déjà occupés à s’y restaurer.
Une grande table en bois trônait au centre de la pièce, entourée par deux rangées de buffets, qui se composaient de mets de toute sorte. Spécialités japonaises, françaises, italiennes…
Le coq avait bien fait les choses.
- Les Fils du Vent venant des quatre coins du monde, j’ai pensé qu’ils apprécieraient pouvoir manger ce qu’ils ont l’habitude de manger, expliqua le Général.
- Mais cela doit coûter très cher, non ? demanda Karasu.
- L’argent n’est pas un problème.
Après s’être copieusement servis, Les deux shinobis s’assirent et commencèrent à manger, dans le brouhaha caractéristique des cantines.
- Tiens tu ne manges pas français Karasu ? lui demanda le Général étonné.
- Non, non… Je préfère découvrir de nouvelles choses. J’ai toujours voulu goûter à des ramens. Et je dois dire que c’est plutôt bon !
Lorsque leurs estomacs furent remplis, les deux hommes revinrent dans le hall et continuèrent tout droit, empruntant un autre couloir. Au bout de quelques mètres, le Général pila et prit la parole :
- Je te laisse ici, Karasu. Continue tout droit et tu arriveras à la salle d’entraînement. Miyamoto t’y attendra. Bonne chance !
Le général fit quelques signes, puis disparut dans un nuage de fumée. Karasu reprit alors sa marche à travers le couloir, en direction de la salle d’entraînement.
Le couloir était assez sombre, mais bien décoré, de nombreux tableaux de valeur attirant le regard de Karasu. Décidément, le Général Yashimoto ne se faisait pas chier !
Quelques minutes plus tard, le couloir prit fin, et Karasu emprunta la porte qui lui faisait face. Il pénétra alors dans un univers radicalement différent.
Une explosion de lumière et de bruit le cloua sur place, et Karasu dut cligner des yeux un certain nombre de fois avant de s’habituer à la lumière. Miyamoto le rejoint aussitôt.
- Viens avec moi, je vais te montrer où est-ce que tu t’entraîneras, ainsi que ton professeur.
Les deux hommes empruntèrent une petite porte sur la gauche de Karasu et découvrirent une pièce plus petite, garnie de plusieurs tatamis et de quelques tables d’étude. Un homme vint alors à leur rencontre.
- Bonjour Karasu, dit l’homme en serrant la main de Karasu. Bonjour Miyamoto-sama.
- Bonjour monsieur, répondit Karasu.
- Je m’appelle Abdul et je serai ton professeur pendant quelques temps.
Je suis originaire du Maroc, et toi tu es français, n’est-ce pas ? Ce sera plus simple pour toi, puisque je pourrai te parler en français. A moins que tu préfères que le cours soit en japonais ?
- Pour commencer, je préfèrerais le français, le temps de maîtriser pleinement la langue japonaise.
- Ok on fait comme ça. Moi je m’en fous, conclut le professeur de Karasu.
Miyamoto salua le maître et l’élève, et quitta la pièce.
Abdul fit signe à Karasu de s’asseoir sur le tatami, avant de s’appuyer négligemment sur le mur.
- Bon alors, je voudrais que tu te présentes. Dis-moi ce que tu aimes, ce que tu détestes, et ton rêve, si tu en a un.
- J’aime pas grand-chose, à part les mangas comme Naruto et le Japon même si je ne le connais pas encore. Ce que je déteste… Les cours, que l’on se moque de moi, ou que l’on m’oblige à faire des trucs chiants. Mon rêve… bof je vois pas.
-… J’espère que mes cours ne feront pas partie de ce que tu appelles « les trucs chiants ».
- Hn.
- Bon bah pour ma part, j’aime la moto, acheter et revendre des DVD crackés à Marrakech, les pizzas, etc. Ce que je déteste, presque rien, juste les gens qui ne me respectent pas.
Mon rêve : que la prophétie se réalise enfin et qu’on me laisse vivre ma chienne de vie tranquille.
-…
- Bon allez on y va ! Que sais-tu du Ninjutsu ?
-… Il y a 5 éléments : Katon, Fuuton, Doton, Suiton, Raiton. On malaxe le chakra et on compose des signes.
- Ok. Et comment malaxe-t-on son chakra ?
- … ?
- Et oui… Tout n’est pas si simple ! Il faut d’abord apprendre à ressentir son chakra, et à le contrôler. Ensuite seulement, le signes permettent de malaxer ce chakra.
- Hn.
- En gros, tu dois percevoir le chakra que tu as en toi, puis le remonter vers tes mains avant d’effectuer les signes.
- C’est pas dans le manga, ça…
- Et non ! Kishimoto n’a pas tout publié. Nous avons des photocopies des tablettes de pierre de la Grotte, qui contiennent beaucoup plus d’éléments que le manga Naruto. Néanmoins, ce dernier représente une bonne base.
- Ok.
- Tiens d’ailleurs, pendant que j’y pense ! s’exclama Abdul. Je dois t’amener à la grotte.
Pose ta main sur mon épaule. Karasu s’exécuta, et les deux hommes disparurent.
La Grotte se trouvait à quelques kilomètres de Tokyo, sur une petite bande de terre à proximité du Château. Son entrée était dissimulée par un Genjutsu, aussi Karasu ne vit qu’un gigantesque rocher, avant que son professeur ne le dissipe.
Les deux Fils du Vent pénétrèrent alors dans la Grotte.
Karasu fut étonné par sa taille : elle était plus grande qu’elle ne le laissait penser l’extérieur. Chaque centimètre de paroi de la grotte était gravé de caractères japonais. Jiraya n’avait pas chômé ! Abdul continua d’avancer, suivi par Karasu, et tous deux parvinrent à une stèle. Deux cylindres de pierre encadraient une plaque de la même matière, sur laquelle était gravée quelques caractères. Abdul chuchota :
- C’est ici. La stèle dit : « Pose tes mains ici pour connaître ton nom. »
Karasu, impressionné par l’aura de majesté qui émanait des lieux, hésita un moment.
« Mais qu’est-ce que je fous là, moi ? se dit le jeune homme. Il y a deux jours je me faisais chier au bahut, et maintenant j’en suis là… Je nage en plein délire ! »
Karasu posa néanmoins ses deux mains sur la base des cylindres de pierre. Aussitôt, Karasu cria de douleur. La stèle le brûlait ! Pire, il ne pouvait pas enlever ses mains, qui étaient comme collées à la stèle. Dans quoi s’était-il embarqué ? Alors que cette pensée l’effleurait, la douleur disparut. Karasu enleva prestement ses mains, et en détaillant ses paumes, ne vit aucune trace de brûlure. Alors qu’il reprenait ses esprits, il entendit une voix dans sa tête. La voix ne prononça que deux mots. Deux mots que Karasu accueillit comme une délivrance, comme s’il recouvrait enfin une partie de lui-même.
« Uchiha Itachi »
Excusez-moi pour le retard, ça faisait longtemps que je n'avais pas posté ! La raison est fort simple :
Cela fait plus d'un mois que j'ai posté les deux premiers chapitres, et ils n'ont toujours pas été corrigés... C'est pourquoi j'ai d'abord attendu que les premiers sortent pour avoir des reviews, mais niet, nada.
Après une petite visite sur le forum, j'ai appris que mon cas n'était pas isolé, et dû à la surcharge de travail pour les correcteurs. Petit coup de gueule néanmoins : ce sont souvent les mêmes qui sont publiés, même lorsqu'ils ont posté la veille...
Bon quoi qu'il en soit, je vais continuer à poster, en espérant que cette fiction sera un jour lue. ;)