Ce jour-là, à son habituelle sonorité, la Nature lui préféra le silence pesant,
Afin d’accompagner dans l’Autre Monde celui qui de sa vie avait fait don.
Ce jour-là, à leur habituelle vivacité, les hommes lui préférèrent le recueillement,
Afin de remercier celui qui les avait servis et protégés avec un tel abandon.
Ce jour-là, les défunts quittèrent leur langueur éternelle,
Pour accueillir avec amertume cet être dénué d’enveloppe charnelle.