Il fait chaud en ce mois d'août, surtout dans le désert brûlant de Suna. Pourtant la kunoïchi assise à même le sol, le regard vissé sur la feuille blanche posé devant elle, ne semble pas s'en apercevoir. Elle ne s'aperçoit même pas de la larme qui apparaît au coin de son oeil avant de s'écrouler sur le sable. Seule et perdue, elle remplit cette lettre comme dans un dernier espoir.